Ce mercredi 4 septembre s’est ouvert le procès opposant la Fédération Nationale des Chasseurs à Sandrine Rousseau. L’occasion pour notre féministe anti-chasse préférée de rester bloquée dans son logiciel.
Ce mercredi 4 septembre s’est ouverte une nouvelle étape du procès entre la Fédération Nationale des Chasseurs et Sandrine Rousseau. Notre fervente opposante à la chasse a donc encore une occasion de se lancer dans ses habituelles démonstrations.
Malgré le temps passé, Sandrine Rousseau ne semble toujours pas avoir changé de position. Elle persiste dans ses critiques avec une constance presque admirable, même si l’on aurait pu espérer un peu plus de nuance ou de réflexion avec tout ce temps de préparation.
Dernièrement, elle a gratifié ses abonnés d’un post sur X (anciennement Twitter), avec cette même ferveur qui la caractérise, en évoquant, entre autres, les chasseurs, les armes à feu, le féminisme et le patriarcat.
Dans ce message, Sandrine Rousseau enfile les amalgames avec une facilité déconcertante. Les chasseurs deviennent, sous sa plume, des figures du patriarcat oppressant qui, évidemment, n’auraient qu’une seule envie : perpétuer leur domination violente, que ce soit à l’encontre des animaux ou des femmes. Une analyse aussi simpliste que percutante, bien entendu.
Cerise sur le gâteau, elle cite un sondage IFOP qui, selon elle, clôt le débat. Selon ce sondage, une proportion inquiétante de chasseurs admettrait des comportements douteux envers les femmes, comme si l’on pouvait faire de la chasse un indicateur de tendances psychologiques. Là encore, les sources se font attendre, et le bon sens aussi.
Richard sur Terre s’attaque au sujet dans sa vidéo du jour. Ça va décortiquer sévère.
Si nous pouvons garder l’espoir que ce procès permettra enfin à Sandrine Rousseau de distinguer un chasseur d’une arme de chasse, il est tout aussi souhaitable que le verdict final rappelle quelques réalités à propos de la pratique cynégétique et de ses adeptes. En attendant, cette affaire promet encore de belles heures de débats animés.
Affaire à suivre.