Une vidéo de Vakita, média de Hugo Clément, accuse à tort les chasseurs d’avoir poursuivi un cerf en pleine ville de Senlis. Décryptage des propos diffamatoires.
Dans un tweet publié récemment, Vakita, le média de Hugo Clément, relayait une vidéo filmée par AVA (Abolissons la Vénerie Aujourd’hui), affirmant qu’un cerf traqué lors d’une chasse à courre avait été poursuivi dans les rues de Senlis. Ces accusations, évidemment spectaculaires, sont entièrement fausses et relèvent de la désinformation. Revenons sur les faits réels pour démonter point par point ces assertions mensongères.
La chasse ne s’est pas poursuivie dans les rues de Senlis
Contrairement à ce qu’avance Vakita, le cerf n’a pas été traqué dans les rues de Senlis. La réglementation cynégétique, scrupuleusement respectée par l’équipage de chasse, stipule qu’il est impératif d’arrêter la meute avant qu’elle ne pénètre dans les zones urbanisées. En l’occurrence, la chasse a été stoppée bien avant l’entrée dans la ville, les chiens ayant été récupérés au plus vite pour éviter tout incident. L’idée que les chasseurs auraient continué à traquer le cerf à travers la ville est purement imaginaire.
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La gendarmerie n’a pas interrompu la chasse
Les propos alléguant que la gendarmerie a dû intervenir pour interrompre une chasse sont également infondés. À aucun moment la gendarmerie n’a eu à « stopper » quoi que ce soit, tout simplement parce que la chasse était déjà terminée. Il n’y avait ni chaos, ni traque active à cet instant, rendant cette affirmation complètement fallacieuse. Les autorités ont été prévenues en amont, garantissant la sécurité de tous, y compris celle de l’animal.
Une accusation sans fondement
Cette tentative de créer une polémique sur la chasse à courre à travers des fausses informations est non seulement trompeuse, mais également diffamatoire envers les chasseurs et les forces de l’ordre qui ont fait leur travail en toute rigueur. Les propos relayés par Vakita et AVA ne tiennent pas compte des faits réels, préférant manipuler les images pour susciter une émotion et une indignation non justifiées.
Propagande et désinformation délibérée
Il est évident que Vakita sait pertinemment que les faits sont déformés, mais choisit néanmoins de mentir sciemment. Ce média, en s’appuyant sur des récits sensationnalistes et des images manipulées, participe à une véritable propagande pour salir la chasse à courre. En propageant des fausses informations, Vakita alimente la haine et la confusion autour d’une pratique pourtant strictement encadrée par la loi. Nous attendons que ces propos soient corrigés, car il est inacceptable de tromper le public pour servir des intérêts militants.
A voir en vidéo :
En même temps le niveau de crédibilité est assez risible quand la source de Vakita c’est AVA. Cette blague.
Il faudrat bien que la fédération nationale se dote d’un service juridique pour contrer toute ces attaques reposant sur des mensonges. Quite a faire appel aux chasseurs pour le
financement et Je suis prêt à y contribuer tellement toutes ces attaques me sont insupportables. Comment améliorer encore nos pratiques quand nos efforts sont réduit à néant par cette campagne de dénigrement permanente dans les médias.
Entièrement d’accord
Quand on voit le nombre de like de post, ça en dit long de la notoriété de cet immense « média »…… Faites un sondage autour de vous et vous verrez le nombre de gens qui le connaisse: très proche de 0.
Vakita est un média qui raconte souvent n’importe quoi s’est son fond commerce mais il serait temps que la fédération de chasse porte plainte et la chasse à cour aussi pour calomnie et diffamation il faut arrêter de faire le l’autruche et dire laissez les sa vas s’arranger
Il n’y a pas que la Justice pour régler ces questions : existe le droit de réponse qui est une obligation légale et qui s’applique aussi quand la communication est faite par voie électronique. (Loi de la liberté de communication en ligne).
Sur X, VAKITA ne nomme pas l’équipage de vénerie, mais peut-être le fait-il sur le site Internet. Il faut voir également ce qui a été écrit par l’ASPAS.
Et puis, on peut aussi faire un signalement tant à l’ARCOM qu’à la Commission de la Carte de Presse puisque VAKITA déclare employer des journalistes professionnels.
Si vraiment les propos sont mensongers et impliquent la gendarmerie, peut-être faut il trouver un moyen d’attaquer ces prétendus défenseurs des animaux par la voix juridique au motif qu’ils diffament et discréditent les fédérations de chasseurs qui sont légales et reconnues.