PETA déverse sa haine des éleveurs dans un tweet absurde, révélant une idéologie antispéciste dogmatique et déshumanisante.
Répéter, marteler, marteler encore. PETA France s’illustre dans un exercice qu’elle maîtrise à la perfection : la caricature grossière. En assénant un « Les éleveurs responsables n’existent pas » comme une incantation sectaire, l’organisation plonge dans l’abîme d’une propagande qui méprise tout discernement. Mais au-delà des mots, ce qui transpire, c’est une idéologie antispéciste qui n’a rien d’innocent : elle vise à nier toute légitimité à l’humain dans ses interactions avec le vivant.
Les éleveurs responsables n'existent pas.
— PETA France (@PETA_France) December 22, 2024
Les éleveurs responsables n'existent pas.
Les éleveurs responsables n'existent pas.
Les éleveurs responsables n'existent pas.
Les éleveurs responsables n'existent pas.
Les éleveurs responsables n'existent pas.
Ce dénigrement systématique, sous couvert de morale, est en réalité une posture profondément dogmatique et déshumanisante. L’éleveur, figure centrale de nos campagnes, qui veille sur ses animaux, protège ses terres et contribue à nourrir la population, est réduit à néant par un tweet lapidaire. Mais qu’est-ce qui pousse PETA à haïr à ce point les éleveurs ? Une obsession antispéciste qui cherche à effacer toute nuance pour éradiquer toute relation entre l’Homme et les animaux.
PETA ne voit plus les éleveurs comme des humains, ni leurs animaux comme des êtres réels enracinés dans un écosystème : ils ne sont pour eux qu’un symbole à abattre.
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Cette posture est répugnante, non seulement par son déni de réalité, mais aussi parce qu’elle fracture le lien vital entre l’Homme et la nature. Sous prétexte de défense des animaux, c’est toute une culture, un savoir-faire et une responsabilité partagée entre l’humain et le vivant qui sont voués à disparaître.
Alors, à ce tweet répétitif, il n’y a pas lieu de répondre par des arguments : c’est son principe même qu’il faut rejeter, car il incarne le dévoiement moral d’un antispécisme rempli de haine, incapable d’admettre les nuances du monde réel. Nous ne discuterons pas avec ceux qui vomissent sur tout un pan de notre société. Nous continuerons à porter haut les valeurs d’une ruralité responsable et vivante, loin des slogans fanatiques.
A voir en vidéo :
Les éleveurs connaissent certainement plus la nature et sa fragilité que les militants de PETA, et devraient discuter avant d’être méchants.
PETA et autre Muriel Fusi ils sont de Guéméné ou de Vire ?
ils sont plus le contenu que le contenant
PETA, c’est bien ceux qui sont contre le Téléthon parce que ça implique des essais sur animaux ?
Tout à leur image , irrespectueux , ignorants , méprisants et mauvais comme la gale .
Je ne sais pas vous mais moi cela me fait penser à une époque peu glorieuse dans l’histoire, dont ce poème montre le principe de manipulation d’une minorité pour imposer ses convictions à la majorité.
« Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
Et lorsqu’ils sont venus me chercher, il n’y avait plus personne pour protester. »
MARTIN NIEMÖLLER, DACHAU
Je ne sais pas vous mais moi cela me fait penser à une époque peu glorieuse dans l’histoire, dont ce poème montre le principe de manipulation d’une minorité pour imposer ses convictions à la majorité.
« Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
Et lorsqu’ils sont venus me chercher, il n’y avait plus personne pour protester. »
MARTIN NIEMÖLLER, DACHAU