Pierre Rigaux, toujours prêt à attiser les tensions, s’aventure en terrain de chasse au Pays Basque. Une provocation peu subtile, et un dérapage espéré.
Voilà Pierre Rigaux, encore en chasse. Non pas à la palombe, bien sûr. C’est un autre gibier qu’il traque : La confrontation. Sur la photo, il est à droite, campé face aux chasseurs basques, l’air de rien, mais bien là pour attiser les tensions. Son style ? La provocation passive. Une posture tranquille, presque détendue, mais un regard et une attitude qui en disent long. Il n’est pas là pour discuter. Il attend le dérapage, l’instant où les autres perdront patience et lui offriront ce moment d’escalade qu’il pourra brandir fièrement comme preuve de sa bravoure.
Rigaux, c’est l’agitateur en chef. Pas besoin de grands gestes ni de grands mots ; il sait très bien que son simple silence, son immobilité calculée, suffisent à faire monter la pression. Son vrai talent ? S’insinuer là où il n’est pas le bienvenu, avec un petit sourire en coin, en sachant pertinemment que sa seule présence suffira à provoquer une réaction. C’est une stratégie finement rodée : créer la tension, l’attiser, attendre l’instant où le ton monte pour pouvoir ensuite jouer la carte de la victime vertueuse, acculée par des « barbares ».
Déjà il y a quelques jours : Pierre Rigaux et l’art de la provocation
Mais qui est le vrai chasseur dans cette scène ? Rigaux semble traquer bien plus ardemment que ceux qu’il filme. Il est là pour capturer des images, des réactions, de quoi nourrir ses réseaux sociaux avec un nouveau chapitre de son feuilleton personnel. Les chasseurs basques deviennent malgré eux les figurants d’un spectacle où ils n’ont jamais voulu jouer. Car la finalité de cette scène, ce n’est pas le dialogue ni la compréhension. C’est un écran rempli de likes et de commentaires indignés, une foule numérique prête à l’encenser et à déverser son fiel sur les chasseurs.
Rigaux ne défend pas la nature, il défend sa propre image. Pour lui, les chasseurs ne sont pas des hommes, ce sont des personnages, des accessoires pour renforcer son discours. Il se plante devant eux avec le calme glacial de celui qui sait qu’il maîtrise le récit, le montage, le cadrage final. Peu importe ce qu’ils diront, peu importe s’ils essaient de dialoguer ou de s’expliquer : Rigaux a déjà construit sa version.
En se positionnant ainsi, il verrouille la scène, il impose son cadre. Les chasseurs, eux, sont pris au piège, dans un jeu où ils ne sont que des pions.
Alors, Pierre, c’est ça ta lutte pour la nature ? Sillonner le Pays Basque en quête de conflits préfabriqués ? en quête de ce frisson d’hostilité que tu pourras partager à grand renfort de filtres et de hashtags ? Derrière l’image du « héros incompris » se cache un artisan du clash, un metteur en scène à l’égo malade qui manipule les codes pour alimenter sa propre notoriété.
A voir en vidéo :
Jusqu’au jour, qui ne sera pas fait comme les autres, qu’il se fasse fumer dans le pire des cas.
C’est vrai que même s’il ne dit rien , tu as envie de l’emplâtrer …..
C’est vrai que même s’il ne dit rien , tu as envie de l’emplâtrer ………
J’ai toujours rêvé de secouer bougrain dubourg. Les années passent.
J’invite pierre Rigaux sur mes terres voir si j’ai tout perdu
!!!!!!!
Mr Rigaux cherche par tout les moyens à provoquer les chasseurs pour faire une vidéo qui montrerai que les chasseurs l’on attaquer heureusement personnes ne tombent dans le panneau ils est vrai que beaucoup de personnes ne lui verse plus rien après qu’il leur a dit que ceux qui avaient voté RN partent mêmes si il en reste encore beaucoup trop n’oublié pas que anti chasse est un métier pour Mr Rigaux
À quand la journée des grosses brunes, le rigaux des sous bois sera le champion inconsisté de la bêtise humaine.
Chapeau bas
RIGAUX, L’AVERELL DALTON de l’écologie
La meilleure attitude à avoir c’est de sortir son portable et de le filmer. Voila la seule façon de le déstabiliser, le prendre à son propre jeu