Pour la REV, mieux vaut une batterie qu’un cheval. À Questembert, l’antispécisme s’oppose à l’écologie au nom d’un dogme : plus jamais d’animal au service de l’homme.
Signez la pétition de Serge Buchet, élu municipal REV délégué à la condition animale, pour faire cesser l'utilisation de chevaux à Questembert (Morbihan) !
— REV | Révolution Écologique pour le Vivant (@REVPourLeVivant) April 13, 2025
Hiver comme été, la municipalité utilise le cheval "territorial" pour transporter des ordures, déplacer les enfants ou… pic.twitter.com/YKGXOnejGg
À Questembert, dans le Morbihan, des chevaux tirent des calèches. Une scène d’apparence banale, presque bucolique : un mode de transport doux, vivant, bas carbone, au service des habitants, des touristes, et parfois même de la collecte des déchets. Une réussite locale, alliant tradition, sobriété énergétique et lien avec l’animal.
Mais pour REV – Révolution Écologique pour le Vivant, ce n’est pas une solution, c’est un scandale. L’un de leurs élus, Serge Buchet, vient de lancer une pétition pour exiger l’interdiction de cette pratique. Le motif ? Les chevaux ne doivent plus être des « outils au service des humains ». Peu importe qu’ils soient bien traités, qu’ils vivent dehors, qu’ils soient utiles. Ce qui compte, c’est le dogme : plus jamais un animal au service de l’humain.
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Et voilà toute la logique antispéciste, dans sa pureté glaçante. Une idéologie qui place la condition animale au-dessus de tout : du bon sens, de l’écologie, de la cohérence même. On préfère condamner la traction équine, pourtant emblématique d’une transition écologique concrète, au nom d’un fantasme d’émancipation animale qui n’existe que dans les salons militants.
Cette affaire est révélatrice. Elle prouve que pour les antispécistes, l’animal n’est pas un partenaire, mais un totem sacré. Il ne peut plus travailler, il ne peut plus interagir fonctionnellement avec nous — même s’il est soigné, aimé, valorisé. Il faut rompre tout lien d’utilité entre lui et l’homme. Et tant pis si, pour cela, on remplace le cheval par un véhicule motorisé, des batteries au lithium ou du plastique industriel. L’essentiel, c’est l’idée. La pureté morale. L’animal, sanctuarisé, intouchable.
L’antispécisme, radical par nature, finit toujours par tourner le dos à la vie réelle. À la nature telle qu’elle est, et pas telle qu’on la rêve. Ce n’est pas une révolution pour le vivant : c’est une régression contre le vivant.
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Si ce cheval ne travaille, il finira dans une boucherie.
Retour au bon vieux Vierzon.
Enfin une commune qui ose la transition ecologique en travaillant avec des chevaux et non des engins motorisés, thermiques ou electriques, un accord parfait pour garantir la survie de l´homme et des animaux… qui s´ils ne servent plus a rien ne seront plus élevés et disparaitront. Qu´est ce que la REV a-t-elle d´écologique svp ? Rien à mon avis, des écolos de salons et encore…ce ne pas des écolos pour réagir ainsi. Et si les animaux ne doivent pas travailler, merci de vous occuper à ce que les hommes aussi ne doivent pas travailler. On voit l´état d´esprit…
Vite une contre pétition.
L’UniREVcité est l’université d’été de la Révolution Écologique pour le Vivant (REV), le parti d’écologie antispéciste et radicale s’est infiltré en politique (25.000 signatures ???) et accoquiné avec des élus européens français rejetant la France. LFI et REV même combat . ILs pourraient être joyeux comme une fontaine puisqu’ils veulent travailler 28h et gagner plus. Mais REV veut : disparition des éleveurs, des chasseurs, des pêcheurs, des animaux de compagnies de poils, plumes ou écailles.