Le Parti animaliste, ce pseudo-mouvement politique, se précipite sur les réseaux sociaux pour déplorer la mort d’un chasseur. Si ce n’était pas tragique, on en rigolerait.
La tragédie frappe à nouveau le monde rural. Un chasseur est décédé dans un accident tragique, le deuxième en l’espace de quelques jours, avant même l’ouverture générale de la saison de chasse.
Le Parti animaliste, ce pseudo-mouvement politique devenu une caisse de résonance des thèses antispécistes les plus radicales, s’est précipité sur les réseaux sociaux pour commenter l’incident. Comme un vautour attiré par l’odeur du sang, ce parti n’a pas hésité à exploiter ce drame humain pour servir sa propagande idéologique. Eux qui, d’habitude, ne cachent pas leur mépris pour les chasseurs et pour tout ce qui touche de près ou de loin aux traditions rurales, se découvrent soudainement une passion pour la préservation de la vie de ces mêmes hommes qu’ils fustigent quotidiennement.
Mais qu’on ne s’y trompe pas. L’émotion qu’ils feignent n’a rien de sincère. Elle n’est qu’un prétexte pour relancer leur sempiternelle diatribe contre la chasse et les chasseurs, ces « barbares » qui, selon eux, n’auraient pas leur place dans une société « civilisée ». Le discours est bien rodé.
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Dans cette instrumentalisation des drames, ce qui se cache en réalité, c’est une haine viscérale de tout ce qui touche à la ruralité, aux traditions, à une certaine idée de la France. Le Parti animaliste, tout comme ses alliés déconnectés des réalités du terrain, poursuit un objectif clair : l’éradication pure et simple de la chasse, et plus largement, de toute activité humaine qui ne correspond pas à leur vision utopique d’un monde aseptisé, dénaturé, où l’homme serait coupé de son environnement et de ses racines.
Les chasseurs, malgré les drames qui les touchent, continueront à pratiquer leur passion, non par défi, mais parce qu’ils savent que ce lien avec la nature est vital. Ils ne se laisseront pas dicter leur conduite par ceux qui, de loin, jugent et condamnent sans comprendre. Et c’est à nous, défenseurs des traditions et de la liberté, de dénoncer ces vautours qui, sous couvert de bienveillance, ne cherchent qu’à imposer leur dictature idéologique.
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a 70 ans je préfère une balade dans les bois, que du lèche vitrine sachant qu’il y a 20 homicides a l’arme blanche par jours en france. de plus mes potes chasseur me font cadeau de quelques pièces de gibier pour les repas de fin d’année .sympas les méchants .
J’ai encore lu un commentaire d’une personne, très haute perchée, que les accidents de chasse explosent en france. Vu le nombre de commentaires adhérents au propos et malgré la diffusion multiple du contraire, je me pose quand même la question du niveau d’intelligence de beaucoup. Je ne parle même plus du libre arbitre de ces moutons ( qui ne risquent rien du loup, d’ailleurs ). Ces deux accidents sont bien malheureux et j’exprime toutes mes condoléances aux familles.