Loin d’exposer nos enfants à la violence, la chasse leur enseigne la patience, la responsabilité et l’amour de la nature. Voici mon témoignage, en réponse à ces accusations débiles.
Je me souviens encore de ce jour où mon père m’a pris par la main pour m’emmener à la chasse pour la première fois. J’étais jeune, plein d’excitation et d’appréhension, et je me suis retrouvé face à cette nature immense que mon père semblait connaître intimement. Il m’a appris à l’observer, à la respecter, et surtout à ne jamais la prendre pour acquise. Ce jour-là, la chasse est devenue pour moi bien plus qu’un simple loisir : elle est devenue une tradition familiale, un lien indéfectible entre les générations et une école de la vie. Alors, quand je vois aujourd’hui des associations comme l’ASPAS salir tout cela en prétendant que nous, les chasseurs, exposons nos enfants à la violence et aux dangers, une colère sourde monte en moi.
Les attaques infondées : une insulte à notre transmission
L’ASPAS nous accuse, nous, parents chasseurs, de mettre nos enfants en danger, de les confronter à la violence des armes, à la « barbarie » du massacre d’animaux dès leur plus jeune âge. Ils parlent de traumatismes, de risques pour les mineurs, comme si emmener son enfant à la chasse revenait à le placer en zone de guerre. Mais comment osent-ils ?
Quand j’emmène mon fils à la chasse, ce n’est pas pour lui apprendre à manier une arme ou à tuer sans réflexion. Bien au contraire. Il ne porte même pas de fusil. Il observe, il apprend. Je lui enseigne à respecter les cycles de la nature, à comprendre que la chasse n’est qu’un petit maillon de cet équilibre fragile. C’est une éducation à la patience, au respect et à la responsabilité, des valeurs qui me viennent de mon père, et que je veux à tout prix transmettre à mon fils.
L’ASPAS voudrait faire croire que je l’expose à la brutalité et à la mort, mais ce que je lui apprends, c’est la vie. Il apprend à différencier les espèces, à comprendre quand il est permis de tuer et pourquoi il est essentiel de ne pas le faire n’importe quand, n’importe comment. La chasse n’est pas une école de la violence, mais une école du respect. Et il est inacceptable que des gens qui n’ont jamais mis un pied dans nos forêts se permettent de salir ce que nous transmettons à nos enfants.
Un antidote à l’abrutissement numérique
Aujourd’hui, les écrans monopolisent le quotidien de nos enfants. Que ce soit pour l’école, le loisir ou les réseaux sociaux, nos jeunes passent des heures enfermés dans un monde virtuel, coupés de la réalité. Ce monde numérique, qui à première vue semble inoffensif, les isole de ce qui est essentiel : le contact direct avec la nature, l’apprentissage du réel, la compréhension des cycles de la vie. Et c’est précisément ce que la chasse leur offre.
Quand je sors avec mon fils dans les bois, il délaisse son téléphone et ses jeux vidéo pour s’immerger dans un environnement vivant, qu’il peut toucher, sentir, écouter. Il apprend à observer la faune, à comprendre les mécanismes naturels qui régissent la vie des animaux et des plantes. Cette connexion directe avec la nature est un antidote à l’abrutissement des écrans qui les enferment dans des réalités artificielles et les déconnectent du monde qui les entoure. Comment peut-on prétendre que la chasse est un danger, alors qu’elle est précisément ce dont nos enfants ont besoin pour se reconnecter avec ce qui est vrai et palpable ?
Une tradition familiale insultée
Je me souviens des paroles de mon père, lorsque j’étais enfant. « On ne chasse pas pour tuer, on chasse pour préserver », disait-il souvent. Cette phrase résonne encore aujourd’hui, et c’est ce que j’essaie d’inculquer à mon fils. La chasse, dans notre famille, n’a jamais été une histoire de violence gratuite. Elle a toujours été une manière d’interagir avec la nature, de la comprendre et de l’honorer. Quand mon père m’a appris à chasser, il m’a appris à être patient, à respecter les règles strictes et à accepter que la nature nous offre parfois plus qu’elle ne prend.
Aujourd’hui, je transmets cela à mon fils. Je lui montre qu’on ne tue pas sans raison, qu’on ne prélève que ce qui est nécessaire, et qu’à chaque action doit correspondre une réflexion. Quand l’ASPAS affirme que nous exposons nos enfants aux « dangers » de la chasse, je ne peux m’empêcher de ressentir une profonde injustice. Comment peut-on insulter ainsi des générations de chasseurs ? Comment peut-on réduire à la simple violence ce qui, pour nous, est un mode de vie ?
Un encadrement strict et sécurisé
Soyons clairs : la chasse est une activité strictement encadrée. Personne ne met un fusil entre les mains d’un enfant, et chaque chasseur est formé aux règles de sécurité dès son plus jeune âge. Quand mon fils m’accompagne, il est constamment sous ma surveillance. Il observe, il écoute, et il apprend. Le danger ? Il est bien moins présent dans nos forêts que sur les routes ou dans les centre-villes !
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L’ASPAS laisse entendre que les enfants qui grandissent dans une famille de chasseurs sont exposés à la brutalité, à la mort. Mais que croient-ils ? Que nous les laissons courir avec des armes sans encadrement ? Il y a une rigueur immense dans l’apprentissage de la chasse, une rigueur que l’on ne retrouve dans presque aucune autre activité. Mon fils sait qu’une arme n’est pas un jouet, et c’est justement parce qu’il l’a appris avec moi, dans ce cadre sécurisé, qu’il en comprend l’importance et la dangerosité.
Chasser, c’est protéger : un héritage méprisé
Ce qui m’indigne le plus dans ces attaques, c’est l’ignorance crasse de ce que nous, chasseurs, apportons réellement à la préservation de la nature. L’ASPAS parle du « massacre » des animaux, comme si la chasse était une entreprise de destruction massive. Mais savent-ils seulement que les chasseurs sont parmi les premiers à veiller à la bonne gestion des espèces, à réguler des populations devenues trop nombreuses pour leur propre survie ou pour les écosystèmes ? Que nous sommes les premiers à protéger les habitats naturels, à participer à des actions de reboisement ou de préservation des zones humides ?
Quand je chasse avec mon fils, je ne lui enseigne pas la mort. Je lui enseigne à protéger la vie. Je lui montre que chaque animal tué est un choix réfléchi, et que ce choix fait partie d’un équilibre. Mon père me l’a appris, et maintenant c’est à mon tour de lui transmettre ces valeurs. Et j’ose espérer qu’un jour, il le transmettra à ses enfants, malgré les mensonges et la haine de ceux qui voudraient faire disparaître tout cela.
Un héritage que nous devons défendre
Oui, emmener mon fils à la chasse est une chance. Une chance de lui apprendre à respecter la nature, à comprendre les cycles de la vie, et à porter l’héritage d’une tradition familiale précieuse. Ceux qui nous accusent de pervertir nos enfants, comme l’ASPAS, n’ont rien compris à la réalité de la chasse. Ils ne voient qu’une caricature qu’ils se plaisent à entretenir, pour mieux diaboliser ce qu’ils ne comprennent pas.
Je refuse qu’on salisse ainsi ce que mon père m’a transmis, et ce que je transmets à mon fils. La chasse, c’est bien plus que ce qu’ils voudraient faire croire. C’est un héritage qui nous lie à la nature, qui nous enseigne le respect, la patience et la responsabilité. Et malgré les attaques, je continuerai à la défendre, pour que mon fils puisse, à son tour, comprendre et respecter la nature, loin des mensonges de ceux qui la déforment.
A voir en vidéo :
Aspas occupé vous de votre parc de valfanjouse plutôt de vous occupé de nos enfants qui savent reconnaître n’importe qu’elle empreintes d’animaux grâce à l’apprentissage depuis leur enfance
Pour apprendre la violence il vaux mieux aller dans les banlieues. Là oui on vous montre comment être tueur a gage à 14 ans. L’ ASPAS apprends à nos jeunes à mentir , à être caricatural et à ne surtout pas dialoguer et ouvrir les esprits et non la tolérance et la discution qui forme le devenir des individus. Pauvre France avec ces gens.
Moi je crois qu un enfant est plus a sa place en accompagnant un adulte a la chasse qu au milieu d une manifestation d anti tout.il court beaucoup plus de risques en allant aux sports d hiver ou a la plage.(Plusieurs centaines de noyades chaque année).sans parler des émotions partagées entre enfants qui souhaitent participer et parents,grands parents.malheureusement chaque accident quel qui soit est toujours un drame
Mes enfants sont venus à la chasse, si le premier est chasseur le second ne l’est pas mais quand il voie un chevreuil il ne dit pas à son fils que c’est un cerf. Il sait la différence entre un chêne et un charme un pin et un sapin. Il sait que la hase n’est pas la femelle du lapin que le crapaud pas le mâle de la grenouille que les marrons ne tombent pas des chateigniers etc… Il mange de la viande et se doute bien que les barquettes de lardons ne poussent pas sur les arbres, il est souvent dehors, vit à la campagne discute avec les chasseurs respectueux comme les non chasseurs éduqués. Bref il est dans son environnement et essai de ne pas le dénaturer comme de s’en émouvoir.