Oise Hebdo joue les complices d’AVA pour jeter un homme en pâture, incapable de faire la distinction entre information et propagande.
Il y a des limites à tout, même à l’indécence journalistique. Mais apparemment, Oise Hebdo les a volontairement franchies pour devenir la courroie de transmission officielle d’AVA (Abolissons la Vènerie Aujourd’hui), ce groupuscule bien connu pour ses méthodes douteuses, son acharnement militant contre la chasse à courre, et son obsession puérile pour la lutte des classes.
Dans leur dernier coup tordu, AVA a profité d’un accident – un cerf heurté par deux véhicules le long de la RN31 – pour diffuser une vidéo accusatrice. Sur ces images, on voit un professionnel, qui se trouvait simplement sur les lieux pour faire son boulot, associé à une vieille photo de lui en tenue de veneur. Le message subliminal ? Ce gars, il est chasseur, donc coupable. Et là, Oise Hebdo entre en scène, reprenant sans filtre cette vidéo et ces insinuations, tout en balançant son identité à la vindicte populaire. Résultat : un lynchage en règle sur les réseaux sociaux.
Depuis quand est-il devenu acceptable qu’un journal se transforme en relais d’une propagande aussi biaisée que malveillante ? Oise Hebdo n’informe plus, il milite, il attaque, et il salit. Cette fois, c’est un homme, dont la seule « faute » est d’aimer la chasse à courre, qui en fait les frais. Parce que Oise Hebdo, et AVA avec, ont décidé qu’il fallait diffuser l’identité d’un assureur (dans l’espoir dans doute que son activité professionnelle en fasse les frais).
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Et ce n’est pas un hasard si Oise Hebdo s’acharne ainsi. Cela fait longtemps que ce journal a choisi son camp : celui de la polémique facile et des raccourcis simplistes. Au lieu de prendre du recul, d’investiguer, de chercher la vérité, il préfère se vautrer dans la facilité du sensationnalisme, avec AVA comme fournisseur officiel d’indignations calibrées pour les réseaux sociaux.
La chasse à courre est une pratique légale. AVA a le droit de la critiquer, mais certainement pas de s’en prendre à ceux qui la pratiquent ou la défendent. Et Oise Hebdo, en relayant ces attaques personnelles, devient complice d’une campagne de harcèlement.
Il est temps que ce journal assume ses responsabilités. La liberté de la presse est précieuse, mais elle s’accompagne d’un devoir : celui de respecter les individus et de ne pas transformer l’information en arme contre des citoyens. À force de vouloir faire le buzz, Oise Hebdo court le risque de se perdre dans la boue qu’il brasse avec tant de zèle.
A voir en vidéo :
Que la FNC mette ses avocats sur le coup et qu’ils ne lâchent rien . Tous autans que nous sommes , nous en avons assez de ces attaques malveillantes et injustifiées , qu’on nous insultent et nous dénigre chaque jours , cela suffit . Tous ces gens doivent rendre des comptes , aucun tribunal honnête et impartial ne peu nous donner tort . La FNC doit être derrière chaque chasseur attaqué , elle en a les moyens .
Que font nos dirigeants,notre président,on est en train de tout perdre,nos opposants n ont personne pour les contredire.on est mal barré.bonnes fêtes a tous.
Marc à absolument raison, il est temp de ce battre.
Bonne fin d’année.
Marc à absolument raison, il est temp de ce battre.
Bonne fin d’année.
Il y a certainement un moyen de demander des comptes à Oise Hebdo, donner le nom ou l’adresse d’une personne dans une publication publique n’est pas forcement autorisée n’importe comment. Le public a le droit d’être averti mais aussi protégé de la propagande qui en d’autres temps pas si lointains a eue des effets dévastateurs.
Ni l’un ni l’autre ne sont à leur coup d’essai. La surenchère ne connaîtra plus de limites tant que la justice ne sévira pas.
Bonnes fêtes à tous.