L’ouverture de la chasse est devenue, comme chaque année, le point de départ d’un torrent d’indignations soigneusement orchestrées par les associations anti-chasse. Parmi elles, la Fondation Brigitte Bardot. Une caricature parmi les autres.
Avec une vidéo choc récemment publiée sur le réseau X, la Fondation franchit un nouveau cap dans la caricature et l’anathème. Sur fond de détonations associées à des images d’animaux sauvages, puis d’un homme à vélo, le message est sans ambiguïté : « Ils aiment tuer ». Voilà résumé en trois mots la vision binaire et simpliste que ces militants ont des chasseurs, accusés d’être des assoiffés de sang, sans autre considération que le plaisir de tuer.
Une campagne de communication démagogique
Le ton est posé. Ceux qui pratiquent la chasse seraient mus par une soif de tuer, des prédateurs sans foi ni loi que seule une poignée d’irréductibles résistants tenteraient de contenir (ah les valeureux héros !). Cette campagne de communication est calibrée pour provoquer une réaction émotionnelle immédiate, sans laisser la moindre place à une forme de réflexion ou de mise en perspective. C’est de l’activisme quoi…une forme d’aliénation et une insulte à l’intelligence.
En réalité, la chasse n’est pas ce loisir sanguinaire que les anti-chasse dépeignent à grand renfort d’images chocs. Bien sûr, tuer fait partie de l’acte de chasse, mais réduire cette pratique à un simple acte de barbarie est une insulte à l’intelligence. Ceux qui chassent ne le font pas pour le plaisir de la mise à mort, mais pour des raisons bien plus profondes. Voyez cette vidéo de Richard sur Terre qui donne quelques pistes de réflexion à ceux qui le peuvent encore :
La manipulation émotionnelle : une arme de désinformation
Dans cette vidéo de la Fondation Brigitte Bardot, le procédé est aussi simple que brutal : une image, une détonation, puis un slogan accusateur. La mise en scène est volontairement choquante, visant à créer un amalgame pathétique dans l’esprit du spectateur. En associant une détonation à la présence d’un cycliste, elle laisse entendre que les chasseurs seraient une menace pour tout le monde, humains compris. Une exagération grotesque qui baigne dans la malhonnêteté intellectuelle. Si des accidents de chasse existent, ils restent extrêmement rares et sont bien souvent le fruit d’un manque de vigilance, non d’une volonté meurtrière. Mais dans ce type de communication, peu importe la vérité : il s’agit avant tout de faire peur.
Cette stratégie de manipulation émotionnelle est caractéristique des militants les plus radicaux, pour qui le débat rationnel est une perte de temps. En refusant de reconnaître que la chasse puisse avoir une utilité, notamment dans la gestion des espèces et la préservation des équilibres écologiques, ces groupes se condamnent à n’adresser qu’un public déjà acquis à leur cause, sans jamais chercher à convaincre ceux qui ne partagent pas leur vision. À l’heure où l’on dénonce de plus en plus les fake news, il est ironique de constater à quel point ce type de campagne repose sur des raccourcis, des exagérations et des mensonges.
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La Fondation Brigitte Bardot, l’échec de la nuance
La véritable faiblesse de cette campagne réside dans son incapacité à envisager la chasse sous un autre prisme que celui de la barbarie. En refusant d’accepter que la chasse puisse être autre chose qu’un acte de violence gratuite, elle passe à côté d’une réalité plus profonde : pour de nombreux chasseurs, il s’agit avant tout d’une quête de connexion à la nature, d’une manière de renouer avec des pratiques anciennes qui rappellent le lien vital entre l’homme et son environnement.
Ce type de discours simpliste n’admet aucune nuance, ni même la possibilité qu’il existe différentes façons d’interagir avec la nature. En réduisant un sujet aussi complexe à une opposition entre « bons » et « mauvais », la campagne échoue à ouvrir un véritable débat et se contente de nourrir des divisions inutiles. Si l’on souhaite véritablement avancer, il faudra commencer par admettre que toutes les pratiques humaines ne se résument pas à une simple dichotomie entre préservation et destruction.
A voir en vidéo :
Cette vidéo est répugnante , mais ne m’étonne pas venant de mamie Zinzin et ses comparses .
Désolé mais je comprends pas on ce fait cracher dessus tous les week-ends . 4 guignols on plus de poids qu un milliers de personnes faut qu on m explique !!! La je jette la pierre à nos personnalités vous êtes si impuissants que ça à 3 pèlerins ils y arrivent !!! Amoureux de la chasse ? Nous ne sommes pas sans moyen à croire que ça va s essoufflé. Résultat on passe pour des tueurs etc. En résumé on fait le dos rond en attendant que les bleus partent et on recommence . Il serait peut-être temps de bouger et pas que dans les hemicycles !!!!
Pourriez-vous, s’il vous plait, commencer par écrire français pour que l’on puisse vous lire sans se faire une entorse des neurones ….. ?
Désolé, je crois que je hais les analphabètes plus que les éolos…..
Pour peser efficacement, il faudrait déjà que les chasseurs s’entendent entre eux…!
Quand je vois le niveau de connerie de certains nemrods qui sont prêts à s’entre-tuer pour des sangliers, je ne m’étonne pas que nos ennemis soient plus efficaces que nous…
Perso, c’est pour ça que j’ai raccroché la carabine il y a 7 ans déjà.
C’est vous qui donnez des leçon (avec une cédille…🤣) en écrivant « éolos » !!!
Comme le dit la (et pas le…🤭) maxime : «Quand on monte à l’arbre il faut avoir le cul propre»
Cette campagne n’est que du réchauffé. Il faut impérativement être équipé d’une bonne casserole pour que la tambouille n’attache pas. Par contre le besoin de nuire n’a pas faibli, bien au contraire.