Il s’agit d’un drame qui concerne un homme (non chasseur), qui tire avec une arme (pas de chasse) sur une gamine. Mais bien entendu les vautours sont là pour dénoncer la chasse.
Peynier – Un agriculteur de 60 ans a été condamné lundi à huit mois de prison avec sursis pour avoir blessé une fillette de 11 ans en lui tirant dessus avec une carabine ; il aurait pris la victime pour un renard. L’incident, qui s’est produit le 22 juin dernier à Peynier (Bouches-du-Rhône), a suscité l’émotion dans la région, d’autant que la victime est une réfugiée ukrainienne installée récemment dans le village.
Le sexagénaire, qui ne possédait pas de permis pour l’arme utilisée – une carabine 22 long rifle – avait consommé de l’alcool avant de tirer. Lors de son passage devant le tribunal d’Aix-en-Provence, l’homme a expliqué qu’il avait voulu éloigner un renard qu’il pensait avoir aperçu dans les fourrés près de chez lui. Malheureusement, c’est sur Julia, la jeune réfugiée, qu’il a fait feu.
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Un choc pour la fillette et sa famille
Au moment des faits, la mère de Julia, qui animait un cours de yoga avec des amis à proximité, a été alertée par les cris de sa fille. « J’ai hurlé. Il s’est excusé, m’a demandé si ça allait puis ma mère est arrivée », a raconté la petite Julia à La Provence. Profondément choquée, elle ajoute : « Je ne pense pas qu’il a fait ça volontairement même si j’ai un peu peur de lui maintenant. J’ai trouvé ça quand même un peu bizarre qu’il me confonde avec un renard, car il faisait encore un peu jour et je pense qu’on me voyait bien. »
Un acte sous l’influence de l’alcool
Au tribunal, l’agriculteur a reconnu avoir consommé deux bières et deux verres de rosé ce soir-là, évoquant une possible altération de sa lucidité au moment du tir. Cette consommation d’alcool a sans doute joué un rôle dans la tragique erreur de jugement.
Outre la peine de prison avec sursis, l’homme a été condamné à une obligation de soins et devra verser une indemnisation de 3 000 euros à la jeune victime. Ce drame met une nouvelle fois en lumière les dangers de l’usage irresponsable des armes à feu, surtout en l’absence de permis et sous l’influence de l’alcool.
Une récupération attendue
Bien entendu les anti-chasse, Parti Animaliste en tête, n’ont pas perdu cette belle occasion de confirmer leur rôle de trolls végans sans figure en tentant cette pirouette (à ne pas reproduire chez vous si vous ne voulez pas passer pour des nazes) :
Est-il possible d’être aussi bassement stupide ? A priori oui.
A voir en vidéo :
Un mot de compassion et de soutien à la victime de la part des animalistes ?
Il ne faut pas trop leur en demander.
Une arme un homme agriculteur la campagne un renard, c’est bon tirez sur les chasseurs. Vin diou ou Vain diou pourquoi ne pas faire la peau aux agriculteurs, ces vieux machins qui vivent dans des bottes en caoutchouc et qui attendent Karine pour « pécho ». C’est vrai quoi ils sont marrants ces personnages un peu oubliés et déconnectés qui tapent sur le cul des vaches qui serviront à fabriquer les MAC DO dégustés par les citadins qui pensent que les steaks poussent sur les arbres.
Et oui l’amalgame est aisé facile de taper sans connaitre. Le petit Caron sait il que les briques de lait ne sont pas attachées aux pis des vaches ? Et oui picoler dans une ferme ou dans une ville ce n’est pas bien. Mais le petit Caron ne parle pas de son collègue sénateur qui ayant abusé de la bouteille et de la poudre aurait fait du mal à une collègue Sénatrice. Les élus sont ils tous des picolos et des agresseurs en puissance, bien sur que non. Ayez de la retenue et avant de cracher sur ce que vous ne connaissez pas pensez déjà à analyser à comprendre et faites vous aider si besoin. J’invite des détracteurs à venir avec moi nourrir les faisans perdrix porter de l’eau et des grains aux animaux en été comme en hiver même si nous ne chassons pas et à venir au rendez vous de chasse où vous ne verrez pas de bouteilles mais des amis des vrais qui viennent pour échapper un moment à la routine du travail où personne n’est nanti où tous se respect vous y verrez des femmes des jeunes filles des enfants dans une entente cordiale et si le soir le tableau est vide ou presque personne ne râle par ce que la vie c’est l’air, l’eau la terre la connexion, la vrai aux arbres aux ruisseaux aux animaux à la chasse à la camaraderie et à la quête.