Encore une fois, le Parti Animaliste nous gratifie de sa diatribe bien-pensante, suintante de moraline et d’idéologie végane. Ah, ils sont beaux, les militants violets !
Mesdames et messieurs, sous vos yeux ébaubis, le délire total : « Les habitants des zones rurales pris en otage. » Les mecs te sortent que les chasseurs, ces braves gars qui cuisinent des terrines de potisanglichon, sont devenus des preneurs d’otages de la ruralité qui, elle, veut se promener dans risques de se faire tirer dessus. T’as plus de chances de te prendre une branche de houx sur la tronche mais c’est pas grave. On continue à faire semblant d’en avoir quelque chose à carrer de la sécurité des humains, le Parti Animaliste !
Et bien sûr, on n’échappe pas à l’argument habituel : « Les cyclistes et randonneurs mettront leur vie en danger. » Voilà, c’est dit. En sortant faire du vélo, vous risquez la mort, carrément. Le Parti Animaliste est en roue libre. Allez, pourquoi pas rajouter que les chasseurs sont responsables du réchauffement climatique et de la disparition des abeilles pendant qu’on y est ? Chaque automne, on nous ressort la même rengaine, comme si chaque week-end de chasse se transformait en bataille rangée où les balles pleuvent sur les cyclistes comme des confettis un soir de nouvel an. La réalité ? Les accidents de chasse existent, oui, mais ils sont rarissimes et dramatisés à outrance par une certaine presse toujours prompte à vendre du drame à bas coût.
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Et puis la conclusion, celle qu’on attendait : « Cette situation a trop duré. #StopChasse ». Le hashtag qui résout tout, bien sûr. Avec ça, ils pensent qu’ils vont changer la ruralité, eux qui ne savent même pas distinguer un faisan d’une perdrix.
Mais derrière cette propagande, que se cache-t-il ? Une détestation profonde des traditions, du monde rural, de la France des campagnes, celle qui n’intéresse personne à part pendant les élections. Ces militants activistes qui ne savent pas rameuter plus de 10 personnes dans une manif, voudraient faire table rase de tout ce qui fait notre identité, tout ce qui nous relie à notre histoire et à nos terroirs.
Mais soyons clairs : la chasse fait partie de notre patrimoine. Elle n’est pas un caprice de bourgeois campagnards qui se définissent comme « ruraux » : c’est un lien profond avec la nature, une activité millénaire qui n’a pas attendu les conseils d’urbanistes déconnectés pour s’adapter aux réalités écologiques.
Alors, chers amis du Parti Animaliste, laissez donc les habitants des terroirs tranquilles, arrêtez de leur dicter leur conduite depuis vos tours d’ivoire. Le jour où vous comprendrez que la France n’est pas un grand jardin à pique-nique pour végans à cheveux bleus, on pourra peut-être enfin avoir un débat sérieux.
A voir en vidéo :
Quand esque que l’on vas enfin regarder à quoi servent l’argent des contribuables et faire un grand ménage dans tous ses partis et associations qui veulent appliquer leurs dictature anti chasse malgré qu’il sont minoritaire
« Les cyclistes et randonneurs mettront leur vie en danger. » et nous chasseurs nos gilets oranges sont « pare-balles », car on est tous en première ligne et on a surement peur, y’a voir comme on tremble.
Une ACCA ou une société de chasse doivent se contenter pour vivre que de la cotisation annuelle des leurs adhérents alors que ces asso qui ne représentent qu’elles touchent des subventions pour nous chier dans les bottes et faire des procès à l’état qui est aussi leur plus gros contributeur … what the Fu…
Moi je propose d’éradiquer le houx et les ronces, ils sont trop agressifs…