Antispécisme : s’il y a bien une chose qui n’a d’égale que la débilité des arguments avancés, ce sont les images d’illustrations utilisées.
Les plus grands maîtres propagandistes du bien-être animal aiment à proposer des caricatures toujours plus absurdes. Que ce soit pour convaincre un public déjà convaincu depuis des lustres ou choquer ceux qui douteraient encore de leurs idées, l’imagination des “artistes” végans est sans limites.
Souvenez-vous de cette série d’images proposées par L214 comme ce magnifique montage censé dénoncer l’équitation (plus haut) ou encore celui-ci pour dénoncer la production de foie gras :
L’objectif ? Pousser votre cerveau dans ses derniers retranchements et vous forcer à vous demander si votre vision des relations humain/animal est légitime.
Et c’est là qu’un bras de fer mental commence. Faut-il remettre en question sa vision du monde au risque de tomber dans les pires travers de la pensée antispéciste ou camper sur ses positions ? Car après tout, ça n’est pas parce que l’on vous rabâche que votre consommation de viande est crime ou que l’équitation est une torture, que tout cela est vrai.
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Tel un sable mouvant, l’idéologie vous engloutira petit à petit. Et la finalité sera toujours la même : reprocher, culpabiliser, interdire, interdire, interdire. Toute ouverture d’esprit ou tentative de vivre ensemble avec un adepte du barbecue sera purement et simplement vue comme une trahison.
Manger de la viande n’est pas un crime. Pêcher n’est pas un crime. Et non, immortaliser la capture d’une belle prise en compagnie de son fils ou de sa fille ne fait pas de vous un serial killer.
Car au-delà d’être avant tout une preuve afin de ne pas vous faire taxer de menteur au prochain repas de famille, ce dessin symbolise ce que nous chérissons le plus : la transmission.
Sur cette simple image, chaque âme sensible à ces valeurs y verra le partage des connaissances entre chaque génération, l’apprentissage, l’éveil de notre instinct de prédateur, les échecs, la réussite. En somme, tout ce qui fait de nous des humains depuis que nous foulons cette Terre.
Et si vous pensez qu’il est raisonnable de comparer les humains et les poissons, peut-être devriez-vous changer de média pour vous informer (on accueille tout le monde mais faut pas pousser).
A voir en vidéo :
Espérons que l’on va faire un grand ménage dans toutes ses associations qui sont inutiles voir dangereuse se qui pourrait faire beaucoup d’économies à la France qui en a bien besoin et ont pourrait verser cette argent aux hôpitaux qui en ont vraiment besoin
J’ai bien un collègue qui, après avoir parlé de son prochain BBQ a craché sur les chasseurs, les derniers des barbares. A croire que sa côte de Boeuf est née directement sur l’étale du boucher.
Images choc, c’est du lourd. Ames sensibles s’abstenir. Que les gens n’arrivent pas à se rendre compte de la duperie ou alors partons sur l’adage, plus c’est gros, mieux ça passe.
Peta va finir par pèter.
Vous n’en faites pas un peu trop dans vos commentaires ? Ces images-là ne prêchent que des convaincus.
Oui, vous avez raison. Le trop est bien présent mais la coupe est pleine. Les actions funestes, exagérées, provocantes et mensongères, souvent ridicules de certaines associations fâches. Donc le mot trop est peut être justifié.
N’est-ce pas une preuve d’un spécisme exacerbé que de décider unilatéralement de l’absence de hiérarchie dans le domaine du vivant ?
De fait.
D’ailleurs l’inversion humain / poisson me fait bien rire car si nous étions à la place des poissons, nous ne pourrions même pas appréhender ou ne fut-ce qu’effleurer les raisons pour lesquelles on nous pêche. Et dans ce cas, des poissons intelligents et évolués qui pêcheraient des humains serait non seulement valide, mais également très probable.