Un débat sur la nécessité de la chasse à Deauville, et l’opposition qui régurgite des poncifs à côté de la plaque.
C’est actu.fr qui raconte – Lors d’une récente réunion du conseil municipal, le premier adjoint de la Ville de Deauville, Guillaume Capard, a souligné l’importance d’une gestion équilibrée de la faune et de ses habitats au Domaine des Enclos à Bénerville-sur-Mer, où la municipalité détient un droit de chasse. Capard a mis en avant le rôle crucial des chasseurs en tant que régulateurs des écosystèmes, contribuant à maintenir l’équilibre entre le gibier, les milieux naturels et les activités humaines. Il a également souligné les aspects environnementaux, culturels, sociaux et économiques de la chasse, affirmant qu’elle favorise le développement des activités économiques et écologiques dans les zones rurales.
Mais c’était sans compter sur Josiane Maxel, conseillère engagée de l’opposition, qui a vivement contesté le lien entre la chasse et la préservation de la biodiversité. Dénonçant le caractère « social » et « culturel » souvent attribué à cette pratique, elle a mis en lumière un aspect qu’elle estime peu discuté : les 21 millions d’animaux issus d’élevages tués chaque année par les chasseurs. Pour elle, la régulation de la nature ne peut être laissée entre les mains des chasseurs, remettant ainsi en question leur rôle de prétendus « régulateurs ».
Madame Maxel a donc bien appris sa leçon anti-chasse en régurgitant la propagande en vogue dans les milieux animalistes.
Évidemment, elle nous expliquera le rapport entre les faisans et perdreaux lâchés par les chasseurs et les dégâts de sangliers. Qu’on soit pour ou contre la pratique, à un moment il faudrait garder un minimum de logique.
C’est ce qui arrive quant on ne sait pas faire la différence entre un faisan et un perdreau ,on tire tout azimut ….
Les partis pleins de bons sentiments ont déjà fait étalage de leur savoir sur la nature et l’autorégulation je me rappelle d’une forêt livrée à elle même sans chasse, mais qu’est elle devenue ?