Ils se réjouissent de la mort d’un chasseur

Richard sur Terre
date 23 février 2023
author Richard sur Terre

Accuser les chasseurs d’être des psychopathes pour ensuite s’amuser de leur mort. Un mystère que la science tente encore de percer.

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15 Commentaires :
  1. GUILLAUME MARKUS
    24/02/23

    Avec Richard, nous avons des textes sensés, percutants et bien écrits d’une personne les pieds sur Terre.

    Une fois encore avec cette vidéo.

    Merci.

    Nous ne sommes plus étonnés des attaques de ce niveau se réjouissant de la mort d’un chasseur par suicide.
    Je suppose que cet homme, en disant aller à la chasse, voulait justifier pouvoir prendre son fusil et cacher son dessein funeste.

  2. Jojo
    24/02/23

    Rien de nouveau de leur part. En même temps, que pouvait on attendre de mieux de ces handicapés de la vie.

  3. Paul Henri
    24/02/23

    Et Pablo Mira dans quotidien qui se moquait de la mort du chasseur américain en mettant en scène son chien avec un fusil de sniper, vous avez vu ?

    1. GUILLAUME MARKUS
      25/02/23

      Triste sire qui manque de talent mais pas d’égo.

  4. GUILLAUME MARKUS
    25/02/23

    A BFMTV on trouve des téléspectateurs si charmants, délicats qu’on aimerait certainement avoir pour amis.

    Trêve de plaisanterie : La modération de BFMTV laisse passer sur leur site des propos dégueulasses à propos de la mort d’un homme, c’est dire le niveau moral de ce média d’information. Et ce ne doit pas être les seuls à accepter ce genre d’ignominies.

  5. Jojo
    25/02/23

    Il n’y a plus rien à attendre de ces tristes sires. Pour moi maintenant c’est la réponse du berger à la bergère quand on m’attaque en face ( le seul réseau que je suis c’est youtube). Bizarrement je les entend de moins en moins.

  6. Joël MORVAN-BOURSEAU
    27/02/23

    Les réactions de ces opposants à la chasse atteignent un niveau de bêtise et de cruauté impensable. Se réjouir de la mort d’un être humain est inacceptable, et faire de cette mort un argument pour soutenir leurs opinions révèle leur incapacité à accepter un autre mode de vie que le leur, ce qui caractérise les régimes totalitaires.

  7. Patrice PASSEBOIS
    27/02/23

    Salut Richard. Encore une fois vous mettez en lumière certains des pires commentaires de ces personnes incitant à la haine et au dénigrement des chasseurs. Merci de le faire avec votre décence habituelle. Une fois de plus vous démontrez la mauvaise information et la déformation des faits par une chaîne d’informations ayant pignon sur rue et qui se fout clairement de la déontologie. Est ce qu’il auraient parlé si cela avait été un bobo écolo qui aurait commis le geste ultime du désespoir ? Comment auraient ils traité cette information? Je serai vraiment curieux de savoir comment réagirait me Marc Olivier Fogiel patron de cette chaîne.
    Et quid de l’agression dont je vous ai parlé en MP? Personne dans les médias n’en parle. Et si cela avait été le contraire? La chanson serait déjà sortie et dans toutes les têtes.
    A bientôt sur terre ou ailleurs

  8. Stéphan maury
    02/03/23

    Merci Richard de remettre les pendules à l’heure. Il n’y a plus de dignité et de respect, qu elle tristesse.

  9. Léonard
    04/03/23

    Ces propos sont effectivement abjects. Ils ne méritent pas qu’on s’y attarde.
    Vous posez la question comment en est-on arrivé là; il me semble que ce n’est pas la bonne question. Il faut plutôt se dire comment sortir de là . Quelques propositions . Elles émanent de la réflexion d’un simple citoyen , pas chasseur mais qui estime que la chasse est une activité parfaitement légitime quand elle est pratiquée de manière éclairée et responsable :
    éviter tout ce qui alimente le débat pro chasse anti chasse qui est un débat stérile et qui prend en otage les gens de bonne volonté,
    Favoriser les actions et accords locaux avec des partenaires non chasseurs dans l’usage des territoires (y compris avec des associations naturalistes quand c’est possible)
    Introduire plus de sciences que de politique dans les décisions concernant la chasse. ( et cela qu’il s’agisse de biologie ou de sciences humaines; sur ce point par exemple l’apport d’un anthropologue tel que Stépanoff est décisif quant à la validité de la chasse à courre)
    Reconnaitre que les accidents et les incidents de chasse sont un vrai problème et qu’on ne peut les banaliser au motif qu’ils diminuent et qu’ils sont incommensurablement moins nombreux que les accidents de la circulation (ce n’est pas parce qu’on est pas bon en sécurité routière qu’on peut passer sous silence les problèmes de sécurités liés à la chasse.)
    D’une manière générale, accepter que la chasse ne concerne pas que les chasseurs.

  10. GUILLAUME MARKUS
    05/03/23

    Bonjour Richard,

    Nous avons la visite d’un faux naïf qui vient délivrer sa manière de penser pour l’usage des territoires et les accidents de chasse notamment. Sa conclusion étant que la chasse ne concerne pas que les chasseurs.

    C’est déjà le cas depuis longtemps.

    C’est toujours pareil, il y en a (beaucoup trop) qui s’expriment sur un sujet qu’ils ont à peine effleuré.

    Il faudrait qu’il se réveille et qu’il s’informe un peu sur la chasse parce que les lois et règlements (et plans de chasse, etc…) ont défini des limites et contraintes (de temps, d’espaces, d’espèces, de nombres, etc…) qui se font en tenant compte de la biodiversité, de l’agriculture, des forêts etc… et en impliquant bien des composantes sociales représentées dans les différentes instances qui traitent des sujets où la chasse est impliquée.

    Qu’il se renseigne un peu et qu’il aille voir sur Légifrance comment est composée la commission présidée par le préfet qui décide de ces questions.

    Pour les accidents de chasse, s’il y a des gens concernés au premier chef ce sont bien les chasseurs qui sont très majoritairement les victimes de ces accidents (90%).

    Il est clair qu’un seul accident est de trop, mais toutes les pratiques génèrent des accidents qui leur sont propres.
    A améliorer encore malgré la baisse tendancielle.
    Des plans et formations sont à l’œuvre dans le sens d’une meilleure sécurité à la chasse.

    1. Léonard
      08/03/23

      Et vous, quelles sont vos propositions pour recréer une culture de la faune et de la chasse qui soit commune aux chasseurs et aux riverains de la chasse et qui soit en même temps une culture du dialogue ?

      1. GUILLAUME MARKUS
        09/03/23

        Le sujet de départ développé par Richard est l’attitude et les propos haineux sur le site de BFMTV de certains se réjouissant de la mort d’un homme mort lors d’une partie de chasse (en se suicidant).

        Et vous vous venez demander des propositions pour une culture du dialogue ??

        Quand on se réjouit de la mort d’un homme parce qu’il est chasseur ??

      2. GUILLAUME MARKUS
        09/03/23

        Je crois que c’est mort de chez mort un rapprochement entre chasseurs et anti-chasse quand on voit la radicalité et la violence de ces derniers.

        Si on restreint le périmètre aux chasseurs et aux riverains de la chasse, c’est-à-dire aux habitants de la ruralité, y compris les néo-ruraux, il faudrait créer des brevets de compétence comportant la connaissance de la faune, de la protection des biotopes, de la chasse et de la régulation des espèces sauvages.

        Mais je ne vois pas comment on y parvient.

  11. GUILLAUME MARKUS
    03/04/23

    Pour un anti-chasse qui passerait par ici, qu’il se réjouisse ou pas de la mort d’un homme à la chasse, je lui indique que la sécurité est une priorité et une préoccupation constante pour les chasseurs, pour la Fédération Nationale des Chasseurs (Willy Schraen) avec les Fédérations départementales des chasseurs.

    La nouvelle doctrine est de faire le ménage et d’éliminer de la chasse les chasseurs ne respectant pas strictement les règles de sécurité à la chasse comme identifier avant de tirer, tir fichant, règle des 30 degrés, etc… Simple, ils sont sortis des associations de chasse, éliminés des chasses, le permis de chasse ne leur est plus renouvelé. Les premières victimes d’accidents de chasse sont très majoritairement les chasseurs eux-mêmes.

    Ceci s’accompagne bien sûr de la ‘’formation décennale obligatoire relative à l’activité cynégétique’’ instaurée par la loi et le décret des 24 juillet et 5 octobre 2020. Tous les chasseurs souhaitant valider leur permis de chasse doivent suivre cette formation décennale.

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