Voilà ce qu’on entend dans la presse et dans la bouche des people. Mais quand on regarde dans les faits, être contre la #chasse aux trophées en 2023, c’est être contre la biodiversité. Explications.
La chasse aux trophées c’est mal !!!
Les Nouveaux Prédateurs
Comment ils menacent les hommes sans protéger les animaux ?
Un essai engagé qui met en évidence les dérives de l’écologie radicale et des militants antispécistes. Protéger les animaux, leur assurer des conditions de vie décentes, consommer autrement en respectant notre environnement… Qui serait en désaccord avec ces principes fondamentaux ? Mais, on le sait, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Aujourd’hui, les activistes antispécistes et les militants écologistes les plus radicaux détournent ces idées partagées par le plus grand nombre. Animés par une idéologie radicale, convaincus que l’intimidation peut remplacer l’échange démocratique, ils imposent, peu à peu, leur vision du “meilleur des mondes”.
CQFD… Bravo encore pour cette brillante démonstration. Si les anti-tout acceptaient de visionner cette vidéo, les mentalités pourraient peut-être enfin évoluer… Vœux pieux ???
Richard je t’adore, que dire de plus si ce n’est que l’ont peux chasser en Afrique pour moins de dix milles euros. Un grand merci à toi
Magnifique travail bravo !
j’ai adoré cette video
et en même temps détesté la course aux 4|4 dans les réserves au Kenya … j’y étais voici environ 40 ans et si nous étions 5 véhicules sur place c’était déjà trop ….
Richard,
Merci d’être revenu sur le sujet des trophées de chasse en Afrique et ailleurs avec cette vidéo.
Dans ‘’Nos Plumes’’ le sujet avait été traité récemment, mais ici avec l’explication économique c’est encore plus clair.
merci pour cette belle leçon d’économie appliquée , très convaincante pour les non convaincus je l’espère …….La notion de valeur des territoires est essentiel en effet pour le maintien de la biodiversité , nous avons la même problématique pour le maintien du couvert forestier ……même si , comme Richard d’ailleurs, les ressorts de la psychologie humaine qui conduisent à aller dans ces pays pour abattre une paisible girafe demeurent , pour moi, bien mystérieux .
Après , il ne faut pas être exclusif dans un sens ou dans l’autre; je viens pour ma part de faire un voyage naturaliste en Mongolie , dans l’Altaï afin d’observer et photographier la panthère des neiges ; ce magnifique animal pourrait difficilement supporter un prélèvement cynégétique vu qu’il s’agit d’une espèce vulnérable sur la liste rouge de l’UICN .
J’ai été ravi de pouvoir la photographier …..Que m’aurait apporté de la mettre dans le viseur de ma carabine????
Et l’organisateur de ce safari rémunère les bergers mongols de l’endroit…..voilà bien une valeur apportée!!!!!!
Si la chasse aux grands animaux africains ne fait plus rêver les nemrods français, ils sont nombreux ceux qui sont intéressés par les passées fabuleuses du gibier d’eau dans les deltas des fleuves de l’Afrique de l’ouest, par les vols de tourterelles et de pintades dans la brousse surchauffée ou les familles de phacochères qui défilent la queue droite et se mettent à genou pour retourner les racines. La “petite chasse” africaine offre encore bien des attraits.
Merci, Richard, d’avoir montré en dépassant la seule posture émotionnelle que l’intérêt des populations de certains secteurs peut passer par l’acceptation d’une chasse raisonnée et restreinte à des périmètres limités. Je ne participerai pas moi-même à ces “chasses aux trophées”, mais elles doivent en effet s’insérer dans une prise en compte des besoins économiques des habitants, que le seul développement d’une agriculture supposant l’exploitation intensive de ressources en eau insuffisantes et d’un faible intérêt économique. La lutte contre le braconnage permet, associée à une chasse raisonnée et restreinte (je me répète, mais c’est primordial) une régulation intelligente des espèces et la conservation d’un biotope particulier.