Oui les images sont terribles, et laissent comme un gout étrange à l’arrière de la gorge. Deux femmes en sac à dos qui passent paisiblement, à la recherche de dialogue, et qui sont prises à parti par des bonshommes viticulteurs ventripotents à l’accent du sud.
Texte : Richard sur Terre
« Va faire la soupe grosse salope ! » (voyez la vidéo ici)
C’est choquant. D’autant que ces femmes ont toujours été d’une parfaite mesure s’agissant du traitement de l’agriculture française. Comment comprendre qu’un viticulteur manifestement non-déconstruit puisse à ce point perdre les pédales face à ces deux pacifistes ? Nul ne le sait. Mais rassurez-vous, tout le monde fait prendre l’air à la version contrite de lui-même sur les réseaux sociaux, et condamne ces faits d’une gravité sans précédent.
La percussion de l’écologie politique de gauche avec sa version frontale et empreinte de nos terroirs est somme toute assez riche d’enseignements.
Ce garçon des champs au langage imagé, n’a semble-t-il pas bien saisi la beauté du monde que nous annoncent les Verts, et je trouverais opportun qu’on lui obtînt un stage de remise à niveau. Ce serait en effet dommage de laisser cette France malpolie et odorante sur le bord du chemin et hermétique à la vertu tondelière.
Il est certain que dans nos magnifiques territoires, la poésie revêt bien des visages. Cœur sur vous.
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Le problème de cette scène c’est qu’elle valide le biais de confirmation des écolos qui ont une image de violence et d’archaïsme de notre monde rural.
Elles sont venus exactement pour chercher ces images et elles ont gagné.
Il faut reconnaître que cela doit être difficile de rester calme devant ces deux ….. personnes.
D’autant plus que les agriculteurs qui les interpellent même si ce ne sont pas des prix Nobels de littérature sont en train de crever en grande partie à cause de l’idéologie politique des écologistes. Quid de la violence des ecolo a St Soline et ailleurs
Le plus comique de cette histoire s est que ses deux responsables écologiques ce sont vite allées ce réfugiés derrière un écran de gendarmerie mobile après tout ce qu’elles ont dit sur eux après sainte soline
Un grand classique. On provoque et après, on se pose en victime
Merci de remettre les pendules à l’heure, c’est vrai que ces gens ne sont pas des prix Nobel et leurs propos sont condamnables mais quand on apprend à les connaitre ils sont courageux et loyaux, contrairement à ces imbéciles d’écolos… ils se sont fait avoir par ces deux là malheureusement…
Quid d’ailleurs de la violence de Sainte-Soline et de leur propos sur les gendarmes derrière lesquelles elles se réfugient cette fois…
Les énervés ce ne sont pas des chasseurs, ce sont des viticulteurs !
Je ne me sens pas avec eux, même si pour chasser nous utilisons la terre des agriculteurs, des viticulteurs, mais c’est en payant chaque année des dizaines de millions pour indemniser les dégâts du gibier.
Richard s’offusque des mots prononcés mais il n’oublie pas de terminer son billet avec un peu d’ironie.
Après, il faut voir que ces dames étaient protégées par la maréchaussée et qu’il n’y a pas eu de bousculade, ni de violence.
D’habitude, elles traitent les forces de l’ordre de tueurs.
Ici, elles ont parlé d’extrême droite pour les viticulteurs quelque peu chauds qui voulaient les empêcher de passer.
On voit qu’elles maîtrisent l’événement sachant parfaitement se comporter dans ces circonstances pour que les images leur soient le plus favorable possible.
les gros beaufs d’agris, ceux qui empoisonnent nos campagnes, une mafia agricole !
j espère que ce commentaire est au deuxième degré, sinon il faut faire une thérapie.
Il s’est trompé le viticulteur énervé.
Je ne serais pas étonné que la cuisine de ces dames, Rousseau et Tondelier, soit plutôt faite par leurs maris !
Je les trouve calmes ces agriculteurs, les miens auraient sortit le fusil, flic ou pas flic…