Toujours plus obscènes

Exploiter une agression sexuelle sur une adolescente pour attaquer la chasse : voilà dans quelle fosse à lisier sont tombés les « Ruraux en Colère ».

Ce n’est pas une première. Encore moins une surprise. Les « Ruraux en Colère », ce collectif anti-chasse hargneux, n’en est plus à une bassesse près. Leur dernière trouvaille ? Exploiter sans vergogne un fait divers sordide pour étaler leur haine maladive de la chasse à courre.

Depuis le 11 octobre 2024, un tweet circule sur les réseaux sociaux :

Cette méthode abjecte n’est pas nouvelle : faire passer la totalité des chasseurs pour des criminels en instrumentalisant la souffrance d’une victime. Ce fait divers sordide est ici utilisé comme prétexte, comme toile de fond, pour servir une narration écœurante.

Les « Ruraux en Colère » ne savent plus où frapper, alors ils frappent bas. Très bas. Leur message n’a qu’un seul but : éveiller la peur, alimenter la haine, diviser. Ces activistes n’en ont rien à faire, ni de la justice, ni de la victime. La preuve en est : si ce même fait divers avait eu lieu dans le milieu du tennis, ils l’auraient royalement ignoré, trop occupés ailleurs à chercher un nonosse cynégétique à ronger.

A lire aussi, pour illustrer la bassesse de ce compte, suivi par toute la clique anti-chasse : Savoie – Des « chasseurs » auraient tué une femme enceinte

Ce qu’ils veulent, c’est diaboliser, pourrir l’image de la chasse, coûte que coûte. Peu leur importe que le coupable ait été jugé, que la justice ait fait son travail. Ce qui les intéresse, c’est le lynchage public.

Les « Ruraux en Colère » ont démontré une fois de plus que leur militantisme est fondé sur la haine, l’opportunisme et la manipulation. Si l’exploitation de ce drame révèle une chose, c’est leur mépris profond pour la décence et pour les véritables enjeux de la lutte contre les agressions sexuelles. Ce tweet n’est rien d’autre qu’un crachat abjecte en plein visage des victimes d’agressions sexuelles.

A voir en vidéo :