En se baladant sur un groupe Facebook privé, l’ASPAS à découvert que certains chasseurs ne souhaitaient pas tuer des sangliers toute l’année. Un constat qui semble les dérouter quelque peu.
L’ASPAS est adepte de ce qu’on l’on pourrait appeler l’argumentation adaptative. Peu importe les obstacles qu’elle rencontre sur son chemin, elle trouvera toujours une pirouette pour attaquer les chasseurs.
Les chasseurs demandent à réguler le sanglier car il cause trop de dégâts ? Attaquons ces assassins !
Les chasseurs ne veulent pas tuer des sangliers car les animaux doivent pouvoir se reproduire tranquillement ? Bon on l’avait pas vu venir…mais c’est forcément pour mieux tuer l’année prochaine donc attaquons-les quand même !
Le fait que les chasseurs se placent en gestionnaires et non en tueurs fous semble mettre un peu le boxon dans les caboches des militants anti-chasse. Tout est question d’équilibre et là où les anti-chasse ne voient que la vie d’un sanglier, les chasseurs voient celle de tout un écosystème.
Alors évidemment tous ne sont pas d’accord entre eux. Mais aux dernières nouvelles, la gestion cynégétique française n’est pas mise en place sur les groupes Facebook. Pas de quoi tirer le portrait de la chasse française dans son ensemble.
A noter que l’ASPAS esquisse ici un semblant de rigueur en précisant que la prolongation ne concerne que certains départements.
On aurait apprécié qu’elle ajoute que cette mesure s’inscrit dans une logique de gestion adaptative de la régulation du sanglier mais que voulez-vous…ça ne colle pas avec la propagande recherchée.
il en sont ou ? clarification plus que douteuse
Il en sont où de la gestion de leur parc ses donneurs de leçon