Dans la série Un Jour Un Menteur

Les plumes de Richard
date 24 octobre 2022
author Richard sur Terre

Le collectif Un Jour Un Chasseur est indigné…La France serait la honte de l’Europe, figurez-vous ! Pourquoi ? Bah parce que c’est écrit dans The Guardian, un gros journal étranger « parmi les plus lus dans le monde » et qui dénonce grave !  Oui sauf que…bon…c’est pas super tellement écrit en fait…

Texte : Richard sur Terre

Un mensonge grossier

Mes amis anglophones, je vous laisse prendre connaissance du lien partagé par le collectif Un Jour Un Mensonge, et je vous défie d’y trouver la moindre trace de la moindre condamnation de quoi que ce soit. Vous ne trouverez pas hein…vous avez compris.

Le soucis de la propagande mensongère chevillé au corps (et adoubés par Hugo Clément et ses retweets indignés), les membre de ce collectif pathétique excrètent leurs contenus comme des volatiles de basse-courre incontinents.

Ragots, historiettes dont la probabilité se rapproche de celle de voir la France envahie par l’armée helvétique, faits divers plus ou moins graves ou notables…tout se mélange dans une bouillie indigeste avalée goulument par des gosiers bien préparés.

En l’occurrence, là, c’est littéralement de l’intoxication puisqu’il est tout à fait facile de démontrer l’arnaque. Je me demande ce qui leur est passé par la tête…vous croyez que l’un d’entre eux a dit en réunion : « nan mais laisse comme ça…c’est en anglais et t’façon personne clique sur les liens…. » ?

Très honnêtement je ne vois que ça comme explication à cette tentative de désinformation grossière.

Je laisse le soin aux esprits bien faits de décider de la pertinence de l’ensemble de leur œuvre.

Lanceurs d’alertes qu’ils disaient…

Pour les feignants, voici la traduction de l’article en français (dont l’original est à découvrir ici https://www.theguardian.com/world/2022/oct/17/british-woman-fatally-shot-while-hunting-boar-in-france-prosecutor-says )  :

Une femme britannique est décédée après avoir été abattue par son compagnon lors d’une chasse au sanglier en France dimanche, dans ce qu’un procureur a décrit comme un « accident dramatique ».

La femme de 67 ans a été blessée « au-dessus du cœur » et transportée à l’hôpital de Saint-Brieuc, en Bretagne, où elle est décédée vers midi, a déclaré le procureur, Nicolas Heitz.

Le groupe de chasseurs, composé d’une douzaine de personnes, traversait un champ de maïs dans la région de Goudelin lorsque la femme a reçu une balle dans la poitrine.

« Les chasseurs avançaient dans un champ d’ensilage de maïs lorsque l’un d’entre eux, un homme de 69 ans, dans des circonstances qui restent à déterminer, a tiré avec son fusil de chasse, canon pointé vers l’arrière », selon un communiqué publié par le parquet et cité par les médias locaux.

« Le tir a atteint son compagnon (…) et dont la balle a provoqué une plaie pénétrante au-dessus du cœur ».

Les gendarmes de la brigade de Lanvollon ont été appelés pour un accident de chasse à Goudelin vers 11h, a indiqué le parquet.

La femme est décédée à 12h20, malgré l’intervention des secours.

Un homme de 69 ans a été placé en garde à vue et une enquête pour homicide involontaire a été ouverte.

Si les circonstances exactes de la fusillade doivent encore être établies, les premiers tests ont permis de déterminer que le tireur n’était pas sous l’emprise de l’alcool ou de drogues, a déclaré M. Heitz.

Une autopsie devait avoir lieu mercredi.

Le meurtre accidentel d’une randonneuse par un adolescent qui chassait le sanglier en février de cette année a ravivé un débat amer sur une réglementation plus stricte de la tradition de la chasse en France. La jeune femme de 25 ans se promenait avec un ami sur un sentier balisé près d’Aurillac, dans la région très boisée du Cantal, lorsqu’elle a été touchée par une balle perdue. Elle est morte sur le coup.

Les Nouveaux Prédateurs

Comment ils menacent les hommes sans protéger les animaux ?

Un essai engagé qui met en évidence les dérives de l’écologie radicale et des militants antispécistes. Protéger les animaux, leur assurer des conditions de vie décentes, consommer autrement en respectant notre environnement… Qui serait en désaccord avec ces principes fondamentaux ? Mais, on le sait, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Aujourd’hui, les activistes antispécistes et les militants écologistes les plus radicaux détournent ces idées partagées par le plus grand nombre. Animés par une idéologie radicale, convaincus que l’intimidation peut remplacer l’échange démocratique, ils imposent, peu à peu, leur vision du « meilleur des mondes ».

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