“Victime de plusieurs incendies importants en 2016 et 2017, le Var a pu compter sur les chasseurs du département pour restaurer des zones incendiées.” Quand les chasseurs sont leaders en matière d’actions de terrain en faveur de la biodiversité.
Parce que l’avenir de la chasse française dépendra en grande partie de sa capacité à prouver qu’elle est essentielle à la protection de notre biodiversité, la Fédération Nationale des Chasseurs axe désormais ses actions sur 5 piliers :
- Renforcer la mobilisation et l’engagement du réseau associatif Chasse et des chasseurs pour la préservation de la faune sauvage et la biodiversité.
- Préserver les espaces protégés et restaurer la trame écologique verte et bleue.
- Protéger les espèces chassables et protégées.
- Développer la connaissance sur la faune sauvage et la biodiversité et la partager.
- Améliorer l’information et la communication, l’éducation et la formation à la biodiversité.
Oh bah tiens, encore un sujet traité récemment sur Chasses Éternelles, c’est cadeau : Contre l’intervention des chasseurs dans les écoles
Depuis la signature d’une convention entre la FNC et l’OFB le 29 octobre 2019, un catalogue d’actions éligibles à l’éco-contribution permet aux fédérations régionales de proposer des projets en faveur de la biodiversité.
Mais qu’est ce que c’est ce machin d’éco-contribution ?
“Le dispositif d’éco-contribution prévoit que, lors de la validation du permis de chasser, chaque chasseur contribue à hauteur de 5€ avec un complément de l’État de 10€ afin de financer des actions concrètes en faveur de la biodiversité.”
Au total, ce ne sont pas moins de 211 projets éligibles au programme d’éco-contribution qui ont été retenus par l’OFB cette année. Le tout pour un montant total de 15 millions d’euros, rien que ça.
Et non, car oui je vois venir les petits trolls, aucun lâcher de sangliers d’élevage au programme.
A la place, des fédérations s’attellent, par exemple, à restaurer des zones incendiées comme ce fût le cas dans le Var. Au total, ce ne sont pas moins de 3 sites qui ont été restaurés pour une surface totale de 73,30 hectares. Grâce à la mobilisation de plus de 177 bénévoles et professionnel, la continuité écologique a pu être en partie restaurée et de nouvelles espèces comme l’aigle de Bonelli ou le Grand-duc d’Europe, ont pu être observées
En favorisant ainsi le maintien d’espèces de petits gibiers comme le lapin de Garenne ou la perdrix rouge, les chasseurs entendent prouver qu’il est possible de concilier protection de notre patrimoine écologique et culturel.
A voir en vidéo :
Hélas , ce que feront les chasseurs sera toujours dans leurs intérêts , restaurer un milieu pour avoir du gibier à tuer et pour ce qui est des espèces non chassables nos « cher » écolos n’en feront pas cas . Quoi que nous fassions , nous serons toujours dénigrés . c’est désespérant , épuisant .
Je pense nager en pleine science fiction, de penser travailler un jour prochain, main dans la main avec, devinez qui, EELV. Non je n’ai pas fumé d’herbe.
En tous les cas pas avec les lumières actuelles. Je crois qu’elles sont éteintes et ne se rallumeront jamais.
Bravo pour les chasseurs qui ont une dévotion sans failles pour notre plus grand bien à nous tous, mère nature.