Parmi toutes les trouvailles insolites que l’on peut faire en allant à la chasse, il y en a certaines qu’on n’oublie pas facilement
Un événement rare a marqué les chasseurs de Vaudrimesnil le samedi 10 février lors d’une battue au sanglier. En effet, un animal inhabituel a été découvert près d’une mare, suscitant l’étonnement de tous ceux présents sur les lieux.
« Ce n’est pas tous les jours qu’on voit ça ! », témoigne l’un des chasseurs à l’origine de cette découverte.
Suite à cette trouvaille inattendue, les chasseurs ont rapidement informé le maire de la commune, qui a ensuite relayé l’information à Laurent Huet, premier adjoint au maire de Saint-Sauveur-Villages.
Conformément à la procédure établie pour de telles situations, l’élu a pris contact avec l’Office français de la biodiversité (OFB). Les services techniques de la commune ont temporairement pris en charge l’animal en attendant l’intervention des agents de l’OFB, programmée pour le jeudi matin suivant.
Une enquête est actuellement en cours pour déterminer l’origine de l’animal et les circonstances de sa présence dans cet environnement. Les autorités envisagent toutes les pistes, cherchant à savoir s’il s’agit d’un animal abandonné, vivant ou mort, ou s’il a pu s’échapper de son habitat.
Il est important de rappeler que en cas de perte d’un animal domestique, il est crucial de contacter immédiatement les autorités locales telles que la mairie, la police municipale ou la gendarmerie, ainsi que les vétérinaires, et de signaler la disparition aux refuges et à la fourrière les plus proches.
Outre le risque pour la vie de l’animal, l’abandon d’une espèce exotique dans la nature peut avoir des conséquences désastreuses sur la biodiversité. Il est donc essentiel que tout achat ou adoption d’un animal soit précédé d’une réflexion approfondie afin d’éviter de tels incidents à l’avenir.
C’est toujours pareil. Ce monde est plein de minables pas fichus de respecter les animaux domestiques ou sauvages.
Ils les abandonnent dans la forêt, dans la nature au moment du départ en vacances ou lorsqu’ils commencent à les gêner en raison de l’encombrement, des coûts, de la fin du ‘’jouet’’.
Quand il s’agit d’une espèce exotique, il y a risque qu’on puisse avoir prolifération d’espèces envahissantes. Dans le cas présent, un boa constrictor, animal à sang froid, n’a aucune chance de survie en Normandie.
En tout cas, c’est dégueulasse.
Vu la douceur des hivers de nos jours, le boa pourrait s’adapter au climat normand, je pense…
Ça s’est déjà vu ailleurs…
Vous devez être écolo pour en sortir une aussi bonne.
Mais ça pourrait être de l’humour…