On passe des caps dans l’écœurement, sans même que la société autour ne bouge. Une haine de plus, diront certains. Une haine qui amène une jeune femme à se réjouir de la mort d’une autre.
Texte : Richard sur Terre
Notre combat contre cette haine aveugle et idéologisée par les grands sachants de l’antispécisme, est juste, et il ne fait que commencer.
Ce message est une saloperie. Une saloperie presque prise au hasard dans cet océan boueux que sont devenus les réseaux sociaux.
Et le délégué régional Ouest du Parti animaliste de tomber un peu plus bas dans la bêtise et l’ignominie en demandant des nouvelles du cheval par pure provocation.
Si les pouvoirs publics ne prennent pas la mesure de la haine qui monte dans la société ; des clivages idéologiques qui se muent en guerres et qui ravagent le débat public, viendra un jour où les français seront irréconciliables.
Vivre ensemble est une valeur républicaine. En cela, vous, responsables politiques, devez prendre la mesure de ce qui est en train d’arriver dans ce pays.
Les Nouveaux Prédateurs
Comment ils menacent les hommes sans protéger les animaux ?
Un essai engagé qui met en évidence les dérives de l’écologie radicale et des militants antispécistes. Protéger les animaux, leur assurer des conditions de vie décentes, consommer autrement en respectant notre environnement… Qui serait en désaccord avec ces principes fondamentaux ? Mais, on le sait, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Aujourd’hui, les activistes antispécistes et les militants écologistes les plus radicaux détournent ces idées partagées par le plus grand nombre. Animés par une idéologie radicale, convaincus que l’intimidation peut remplacer l’échange démocratique, ils imposent, peu à peu, leur vision du « meilleur des mondes ».
Entièrement d’accord avec toi, on a franchi une ligne rouge et il va-t-être très difficile, voir impossible de faire machine arrière. La lutte contre cette haine et la violence des propos de ces « jusqueboutistes » devient une priorité Nationale que nos politiques doivent s’approprier. On a bien vu a quoi mène l’extrémisme à qu’elles atrocités les fanatiques sont capables de se livrer… Pour l’heure se ne sont qu’avec des mots (mais on connaît les drames que peuvent provoquer ou induire des mots) mais il suffit qu’un de ces décérébré trouve la pétoire du grand père au grenier pour provoquer une tuerie… Et là, je ne répond pas du flegme et de l’empathie de certains « porteurs de fusils » qui entachent encore nos rangs, ça peut vite virer à « OK corral »
Et dire qu’il est fort probable que cette qui à écrit cette horreur soit elle aussi tatouée…tout comme le bétail dans les ferrades !!!
Les personnes qui partagent ce territoire répondant au nom de France ne sont plus réunies par aucun dénominateur commun. Dopées au relativisme, les sensibilités se sont muées en idéologies absolutistes fermées à toute contradiction. La simple possibilité d’analyser le postulat de l’autre devient trahison, de sorte que, les conditions nécessaires au débat cessant d’être, la violence prend le relais du dialogue.
Je suis bien triste de lire ce genre de commentaires. Mais notre lecture du phénomène n’est-elle pas aussi biaisée.
Les enfants d’hier qu’on a laissé tout faire sans jamais intervenir au nom de la « liberté » -mot très mal interprété souvent – sont des jeunes adultes voir des parents qui reproduisent ces phénomènes. A côté de ça on voudrait que ces adultes et jeunes enfants réfléchissent, acceptent des différences, des étrangers, des comportements inconnus, des lois, des limitations, toutes sortent de choses qui au nom du vivre ensemble nous semblent familières à nous mais pas du tout à eux. Comment voulez-vous que ce soit possible ?