Hugo Clément propage (encore) des fake-news

Eh oui les amis vous connaissez la chanson : dès qu’un être humain est tué ou blessé par balle dans ce pays, c’est la faute des chasseurs. Bien entendu, dans une méconnaissance absolue des armes, les journalistes se confondent en âneries, et c’est l’occasion pour les ennemis de la chasse de fourbir les leurs, d’armes, pour dégainer une propagande toujours plus outrancière.

Texte : Richard sur Terre

Un jeune homme de 17 ans a été victime d’un tir de 22LR

Tout le monde est d’accord pour dire que c’est un accident. Mais bien entendu « de chasse ». Parce qu’on ne comprend rien, et que surtout ça génère du clic, donc du pognon. Le fait que ce calibre soit interdit à la chasse n’effleure même pas le stagiaire de BFM quand il balance la nouvelle. Et comme il n’existe plus cette race de journaliste pour tenter de vérifier une info, chacun récupère le papier du petit copain à peine modifié dans une course au clic parfaitement écœurante.

Mais bien entendu, en marge de cette cour de récré qu’est devenu notre paysage audiovisuel français, se tiennent des people en mal d’indignations bien commodes qui n’hésitent pas à excréter une ignorance baveuse sur leurs réseaux sociaux riches de plusieurs millions de “folloloosers”.

Non il ne s’agissait pas d’un acte de chasse. Tout au plus de gamins en train de faire les cons avec le résultat dramatique qu’on connait.

Mais ça fait « pan » vous comprenez…

J’invite (encore une fois) les journalistes à s’acheter une conscience professionnelle, et les autres à se renseigner un poil avant de tirer les conclusions les plus flatteuses pour leurs biais de confirmations.

Cette désinformation, qui confine au harcèlement, est bien la preuve de la folie haineuse qui s’empare d’une minorité de crétins publics qui se posent en parangons de vertu, sans se rendre compte une seconde qu’ils ne sont les colporteur que de saloperies qui amènent le sage à lever les yeux au ciel, et qui embarrassent notre démocratie.

Hugo Clément est de ceux-là. Je me demande si un jour les gens réaliseront l’imposture que représente ce garçon qui porte son indignation en bandoulière, et sa bêtise au coin d’un triste et niais sourire de bonimenteur.

Les Nouveaux Prédateurs

Comment ils menacent les hommes sans protéger les animaux ?

Un essai engagé qui met en évidence les dérives de l’écologie radicale et des militants antispécistes. Protéger les animaux, leur assurer des conditions de vie décentes, consommer autrement en respectant notre environnement… Qui serait en désaccord avec ces principes fondamentaux ? Mais, on le sait, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Aujourd’hui, les activistes antispécistes et les militants écologistes les plus radicaux détournent ces idées partagées par le plus grand nombre. Animés par une idéologie radicale, convaincus que l’intimidation peut remplacer l’échange démocratique, ils imposent, peu à peu, leur vision du “meilleur des mondes”.