Kazakhstan : arrêts sur tétras-lyres

Chasse à l'étranger
date 25 janvier 2022
author Richard sur Terre

Chasseur passionné et montagnard aguerri, notre collaborateur Florent Teicher apprécie avant tout la quête du grand gibier mais ne dédaigne pas non plus de courir la plume derrière des chiens d’arrêt. C’est ainsi qu’il s’est rendu au Kazakhstan pour se mesurer, entre autre, aux tétras-lyres. Récit…

Texte et photos : Florent Teicher

« C’est à l’issue une journée de décembre passée à poursuivre des bécasses en compagnie de mon ami Baptiste, que nous avons décidé de trouver une destination de chasse au chien d’arrêt pour la saison suivante. Après quelques semaines de recherches nous acceptons l’offre que nous propose Mathieu Breton de l’agence Dhd Laika pour un voyage au Kazakhstan avec pour principal acteur le tétras-lyre ou petit tétras. Cette destination nous correspond car nous pouvons emmener nos chiens et nos armes tandis que les densités de gibier ont l’air importantes. L’espèce n’étant pas migratrice, le risque d’un séjour vide de tout oiseau est inexistant. Rendez-vous est donc pris pour le mois de septembre 2019. Un petit groupe est formé, Jean Marc, Claude et Axel le complètent. Au total 4 chiens seront du voyage : 3 setters et 1 drahthaar.

Long périple

Après quelques mois d’attente, le jour « J » arrive enfin. Nous habitons tous le sud-est de la France c’est donc de Nice que nous partons un certain vendredi 13. Pas le meilleur jour diront les superstitieux. Un premier vol nous fait atteindre Helsinki où nous sommes en transit pour 8h00. Ceci nous permet de récupérer nos chiens et de patienter tranquillement. sans encombre. Un nouveau vol nous conduit ensuite à Astana (rebaptisée Nur Sultan) où nous arrivons à 4h00 du matin. Au terme de 2h00 de formalités pour l’introduction des armes et des chiens, nous prenons alors la direction de notre camp de base situé à 5h de route. Nous sommes accompagnés par 2 guides de chasse, Sacha et Yvan, qui servent de chauffeurs pour le transfert ainsi que d’Ana qui sera notre traductrice pour le séjour. Cette dernière parle et comprend très bien le français, ce qui nous aidera énormément durant notre séjour.Cela fait maintenant plus de 24h00 que nous sommes partis de la maison et la fatigue commence à se faire sentir. Nous arrivons à notre chalet. Il se situe en bordure d’un parc national. Un déjeuner préparé par une cuisinière qui va s’avérer un véritable cordon bleu nous attend. Nous allons passer une semaine dans ce rustique hébergement en bois qui renferme cependant tout le confort nécessaire. L’après-midi sera consacré au repos et à une petite promenade pour faire dégourdir les chiens. Nous sommes bien installés et rassurés que le voyage se soit bien passé. Il n’est pas toujours évident de se déplacer par avion à travers le monde avec des armes et des chiens.

Durant le premier diner avec nos guides, les questions fusent, nous voulons tout savoir avant même d’avoir commencé. Ils nous rassurent sur la météo qui s’annonce idéale durant nos 5 jours de chasse et nous expliquent également comment va se dérouler le séjour.

Le petit déjeuner sera servi à 8h00, pour un départ vers 9h00. Environ une heure de route nous sépare de la zone de chasse. Nous chasserons tous les jours dans une nouvelle vallée et toujours en 2 groupes de chasse. Le déjeuner sera pris sur le terrain, chose toujours très agréable quand il fait beau.

Premier matin, nous roulons une demi-heure sur de l’asphalte et empruntons une piste qui traverse une steppe désertique. Nous croiserons seulement quelques troupeaux de vaches et de moutons. Ce sont les seuls animaux de rente que nous verrons durant notre périple. Au loin, des montagnes se dessinent et se rapprochent de nos regards. Il n’y a quasiment aucune végétation et nous nous demandons bien où nous allons pouvoir chasser les tétras ? Une vallée s’annonce et nous commençons à apercevoir au creux de cette dernière des serpentins de végétation. Des ruisseaux coulent au milieu de chaque bande arborée. La voiture s’arrête aux confins de deux cuvettes et les guides nous demandent de former deux équipes qui prendront chacune une combe. Ils nous récupéreront à la fin de celles-ci pour le déjeuner.

Au paradis des tétras-lyres

Axel et Baptiste viennent avec moi. Ce dernier est accompagné de Galy et Java, ses 2 setters. Il est décidé que j’occuperai un coté du couvert, Axel prendra l’autre et Baptiste sera au milieu avec ses deux chiens. Après 5 minutes, les limiers sont déjà à l’arrêt et les premiers oiseaux décollent hors de portée. Il s’agit de cinq coqs de tétras-lyres. Ébahis par le spectacle nous regardons les volatiles se reposer au loin. Je comprends très vite qu’il va falloir qu’Axel et moi prenions de l’avance sur le conducteur et ses auxiliaires canins pour arriver à tirer notre épingle du jeu.

Après 200 m, Baptiste nous prévient que ses protégés sont de nouveau bloqués.

Cette fois, je me place plus en amont. Dans un fracas étourdissant un vol de tétras décolle et passe sur Axel qui ouvre le feu au passage. Le bruit sourd d’un oiseau heurtant le sol résonne dans la vallée. Ça y est, le premier gibier du séjour vient de tomber. Ce tétras est une grande première pour mon coéquipier. Nous félicitons l’heureux tireur et le travail des setters.
En une demi-heure de chasse notre trio a déjà levé plus de 10 oiseaux. Cela laisse rêveur et se veut prometteur pour le reste du séjour. La matinée se passe et les arrêts de Galy et Java se succèdent. Nous rejoignons nos guides qui nous attendent aux véhicules pour une pause pique-nique. Jean Marc et Claude sont déjà là. Ils ont eu la chance de lever deux belles compagnies de perdrix grises. Nous déjeunons de tomates, concombres et charcuterie kazakhe, dans un décor magique en contemplant notre tableau qui s’élève déjà à 6 coqs de tétras-lyres et 4 perdrix grises. Tout le monde a le sourire aux lèvres.

Rassasiés, nous changeons de vallée et décidons de chasser un peu plus haut pour trouver dans la végétation basse une compagnie de perdrix. Il fait chaud en cet après-midi et les perdreaux se refusent à nous.

Nous redescendons donc légèrement dans la vallée pour nous rapprocher d’un ruisseau, quand tout à coup Galy se fige imité aussitôt par Java qui patronne. Nous remontons rapidement les chiens, car les oiseaux ont tendance à piéter et à partir hors de portée.

C’est alors que dans un mélange de claquements d’ailes et de caquètements caractéristiques qu’une compagnie d’une trentaine de grises 30 s’arrache devant nous. Je suis surpris, l’adrénaline monte. Cependant, j’arrive à tirer et prélever un oiseau, ma première perdrix grise. Je ramasse ce superbe mâle, et prends le temps de le contempler. Je reste admiratif devant ce superbe gibier. Nous achevons cette journée en beauté avec la récolte de 3 tétras-lyres sur un même arrêt. Nous avons là réussi à cueillir un oiseau chacun. Les têtes pleines de rêves, nous rentrons vers le chalet. Au total, 15 coqs de petits tétras et 13 perdrix ont été tués au cours de cette inaugurale sortie.

Maral Platinum : le mariage entre l’élégance et l’efficacité légendaire de Browning

Vos pupilles se dilatent, votre rythme cardiaque s’accélère : vous avez le coup de foudre pour la Maral Platinum et nous vous comprenons ! Cette version luxueuse de la carabine à réarmement linéaire la plus rapide du marché se pare ici de splendides bois de grade 5. Une gravure arabesque finement ciselée sur la carcasse se marie à une boule de levier de culasse elle-aussi en bois.

Des grises très roublardes

Au deuxième jour de chasse, les chiens sont encore excités tandis que les chasseurs se montrent très motivés et plein d’espoir. La météo est toujours très clémente. Une nouvelle vallée s’offre à nous pour la matinée, mais les coqs de tétras-lyres ne sont pas présents, ne sont levées uniquement que quelques poules. Si leur prélèvement n’est pas interdit les guides préfèrent qu’elles soient épargnées afin de favoriser la reproduction. A l’heure de la pause déjeuner, Sacha et Yvan sont déçus. Ils nous entrainent donc pour l’après-midi vers un autre secteur et nous retrouvons des densités très intéressantes de gibier. Je réussis aussi à lever une compagnie de perdrix grises. Je suis très surpris par le nombre d’individus dans cette volée, une trentaine. J’appelle de suite mon compère Baptiste car j’ai repéré la zone de pose. Galy, chienne expérimentée, arrive sur le lieu et se bloque instantanément.

Nous la rejoignons rapidement pour la servir, et après une minute sans que rien ne se passe, je comprends très vite que les perdreaux piètent. La végétation est rase, parsemée de petits épineux très denses. Sous l’ordre de Baptiste la setter commence à couler, quand des cacabements attirent mon oreille. A 200 m de là, sur le haut de la montagne, toute la compagnie prend son envol. Quel spectacle !

Cette fois-ci les oiseaux ont gagné et ce n’est pas la peine de leur courir après. Ils sont passés de l’autre côté de la crête. Nous redescendons dans le bas du vallon, un peu dépités mais avec une expérience acquise. La végétation est plus haute et plus propice aux tétras. L’après-midi se termine sur un magnifique arrêt avec l’envol d’un jeune coq que je saisis en plein vol.
Tous les matins notre rituel est de faire sortir les chiens avant le petit déjeuner. Mais, en début de 3ème jour, l’énergie est bien plus contenue chez nos compagnons à quatre pattes. Certains hésitent même à sortir. Il faut dire que le GPS annonce presque 45 km au compteur pour certains d’entre eux. Nous réalisons que les chiens souffrent et que si nous voulons continuer à chasser jusqu’au dernier jour il va falloir économiser « les batteries » et pattes de nos auxiliaires. Ainsi, au lieu d’en lâcher 3 ou 4 nous décidons de ne sortir pour le tout groupe que 2 chiens à la fois et de laisser reposer les autres. Aujourd’hui, je vais chasser avec Jean Marc et Baptiste. Claude et Axel vont remonter une autre vallée. Nous n’avons qu’un setter pour notre trio de fusils. Jean Marc laisse son drahthaar au repos, pour le faire chasser en après-midi.La matinée se déroule avec toujours le même plaisir. Nous levons beaucoup d’oiseaux sans pour autant en récolter un grand nombre. L’heure de la pause approche. A 500 m de nous les 2 voitures sont arrêtées. Les guides et la traductrice ont souhaité nous réserver une surprise. Comme tous les midis, la table est dressée avec légumes et charcuterie kazakhe. Mais, pour nous faire plaisir, nos hôtes ont conservé du gibier de la veille et Sacha est en train de cuisiner des filets de perdrix et de tétras-lyres sur un petit réchaud. Nous allons véritablement nous régaler. Quel plaisir de déjeuner des oiseaux que nous avons chassés. Après une petite sieste réparatrice au milieu de la steppe kazakhe, nous reprenons notre quête.

Pour la seconde partie de journée, je propose à mes compères d’essayer de chasser dans un biotope plus propice aux perdrix au risque de ne pas voir de petits tétras. Ils acceptent, surtout que deux chiens sont lâchés. Après quelques kilomètres à marcher dans une végétation sèche, nous ne trouvons toujours pas de perdrix. Nous arrivons désormais en bout de vallée au pied de la montagne où serpente un petit ruisseau. Lords, drahthaar de 3 ans, arrive au bord d’eau et se pétrifie. Il est bientôt imité par Galy. La compagnie est là, c’est sûr. Jean Marc se tient sur la gauche, Baptiste est au milieu et je tiens l’aile droite.
L’ambiance est tendue, chacun est concentré et l’adrénaline monte. Les secondes paraissent des minutes. Dans un froissement d’ailes trois premiers oiseaux décollent, le bruit sourd d’une première dénotation résonne puis les choses s’enchainent trop vite pour être détaillées précisément. Toujours est-il que sur la vingtaine d’individus qui composent la compagnie six sont prélevés. Nous venons de vivre un moment magique. C’est pour partager des scènes comme celles-ci que nous avons fait tant de kilomètres et de sacrifices. La journée s’achève et les images de cette scène de décollages successifs animent nos pensées. C’est un peu rêveurs que nous prenons le chemin du chalet. Déjà 3 jours de chasse de passés.

Bécassine et aragali

Alors que nous avons basculé hier midi dans la seconde moitié de notre expédition, nos compagnons à quatre pattes montrent de plus en plus de signes de fatigue. Je doute que tous finissent le séjour en étant opérationnels. Jean Marc, grand passionné de chien d’arrêt et chasseur expérimenté à l’étranger, a manifestement l’habitude et ces situations. Sur ses conseils, nous sommes allés hier soir à l’épicerie située dans un petit village à une dizaine de kilomètres de notre hébergement, pour acheter quelques boites de sardines. Effectivement, ces poissons et l’huile qui les conserve forment un aliment très riche pour des chiens soumis à des efforts quotidiens. Ce sera donc leurs repas jusqu’à la fin du séjour.

Aujourd’hui les guides décident de nous mener dans une vallée plus lointaine. Après 2h de voiture nous arrivons à la frontière d’un parc national. La journée se déroule de la même façon que les premières à une exception près, j’ai la chance de marcher sur une bécassine et de pouvoir la tirer. Avant d’aller la récupérer, une question me taraude : « Ai-je eu la chance de prélever une bécassine double qui migre dans ces contrées ? ». Après l’avoir en main, et malgré ma connaissance non experte de l’espèce, il ne me semble pas. Je prends une multitude de photos de l’oiseau pour la montrer à des chasseurs plus expérimentés dès mon retour. Il s’avèrera que ma première impression fut la bonne, il s’agissait d’une bécassine des marais identique à celle que l’on peut trouver en France (Ndlr : La bécassine double est sous protection totale à travers le monde, même si certains pays les laissent impunément tirer).

LE PRÉLÈVEMENT D’UN TÉTRA EST LA PLUS BELLE DES RÉCOMPENSES POUR LES CHIENS QUI TRAVAILLENT DANS DES CONDITIONS DIFFICILES

« C’est pour partager des moments comme ceux-ci que nous avons fait tant de kilomètres et de sacrifices. »

Sur le chemin du retour, les guident veulent me montrer quelques choses. Ils savent que je suis passionné de grand gibier. Ils ont compris à travers mes nombreuses questions mon intérêt pour les animaux de montagne. Nous descendons du véhicule et au bord de la piste se trouve un trophée de grand mouflon. Il s’agit d’un argali de Karaganda, le rêve de tout chasseur de montagne. C’est un proche cousin des argalis de Mongolie. Quel plaisir de simplement tenir entre mes mains un tel animal. L’espèce est protégée depuis de nombreuses années mais les guides m’expliquent que sa réouverture est proche. Les instances kazakhes ont peut-être compris que la chasse est le meilleur moyen de conservation de l’espèce, certainement très braconnée actuellement.

Oiseaux trophées

Cinquième et dernier jour de chasse. Cette fois-ci les chiens sont vraiment très fatigués, certains ont les coussinets en mauvais état. Mais, eux comme nous, manifestent malgré tout le souhait de profiter de cette dernière journée. J’envisage de ramener un coq de tétras lyre pour le faire naturaliser. Il faut vraiment que l’oiseau soit intact et en parfait plumage d’après-mue. Je demande également aux guides si nous pouvons tirer quelques poules aujourd’hui pour ceux qui souhaitent les faire naturaliser. Ces derniers acceptent. J’ai pris avec moi des collants qui serviront à transporter ces trophées sans les abimer.

Je tire un premier coq mais l’oiseau est trop jeune et la moitié de son plumage n’est pas terminé. Je ne peux pas le garder.

Dans la journée j’ai la chance de pouvoir prélever deux autres coqs et une poule en parfaite état. J’en prends le plus grand soin, les éviscère et les congèle en arrivant au chalet. Ainsi s’achève notre aventure petit gibier au Kazakhstan. Il va nous falloir quasiment deux jours de voyage pour retrouver nos familles. Comme à l’aller, le retour se passe sans encombre. Les chiens sont bien traités et nous pouvons nous occuper d’eux durant notre transit à l’aéroport d’Helsinki. Plus habitué aux expéditions grand gibier, ce voyage fut pour moi la plus lointaine expérience de chasse au petit gibier. J’ai beaucoup apprécié et de nouvelles idées d’évasions se bousculent dans ma tête. Nous en reparlerons.

De l’ordre des galliformes, il a une envergure d’environ 70/80 cm avec un poids situé entre 1 et 1,5kg. Au Kazakhstan, on croise la sous-espèce « mongolicus ». Généralement, seul le mâle est chassé. Il a un plumage noir à reflet bleu, les ailes sont brun noir avec une petite barre blanche, le dessous des ailes et de la queue est blanc. La queue se termine en forme de lyre d’où son nom. La femelle est quant à elle brune et roussâtre barré de noir. Il est assez facile de faire la distinction à l’envol sauf sur des jeunes sujets.

Au Kazakhstan, les oiseaux descendent de la montagne au petit jour pour rejoindre les ruisseaux et les zones humides sous couvert de végétation, où ils se nourrissent. En fin de journée ils remontent se poser sur le haut des montagnes pelées de toute végétation, probablement pour se mettre à l’abri des prédateurs.

Carnet de Voyage

TRANSPORT :

Nice – Helsinki – Astana, ou via Moscou. Idem au départ de Paris. Prévoir un transit important à Helsinki pour pouvoir récupérer les chiens (8h dans notre cas). Compter ensuite 5 à 6 heures de voiture pour rejoindre le chalet.

SITUATION GÉOGRAPHIQUE :

Région de Karaganda dans l’est du Kazakhstan.

TERRITOIRE DE CHASSE :

Moyenne montagne, steppe aride très minérale, avec des cours d’eau dans les fonds de vallées où se trouvent les petits tétras durant la journée.

GIBIERS ET SAISONS :

Attention les dates peuvent changer d’une année sur l’autre.
Tétras-lyre : 1er samedi de septembre au 30 novembre
Perdrix grise :1er samedi de septembre au 15 novembre
Lièvre variable: 1er novembre au 15 février
Caille : 20 aout au 30 novembre
Généralement les séjours sont organisés sur les 3 dernières semaines de septembre

CLIMAT :

Il peut faire très chaud et très aride en début de saison mais l’hiver arrive très vite sous ces latitudes avec les premières neiges généralement fin septembre. Durant notre séjour il a fait beau, avec des températures proches de 0°c le matin et de 20°c la journée. La pluie peut rendre difficile la chasse des tétras.

ÉQUIPEMENT :

Prévoir des tenues légères et respirantes car beaucoup de kilomètres sont parcourus durant la journée. Pensez aussi à emporter de bonnes chaussures de marche et une crème solaire à fort indice de protection car le soleil est brulant.

ARMES :

Nous avons emmené nos armes sans aucune difficulté. La Carte européenne d’armes à feu est obligatoire. Des cartouches de calibre 12 et 20 de bonne qualité sont disponibles sur place. L’importation de munitions est en revanche beaucoup plus compliquée. Prévoir un fusil de plus pour le groupe au cas où un des chasseurs tombe en panne avec son arme.

TOURISME :

Il n’y a pas grand choses à découvrir sur la zone de chasse si ce n’est la beauté et l’immensité des territoires. Astana est une ville moderne et une visite de quelques heures suffit amplement pour s’en faire une idée.

Raisons d’y aller

  • Territoire immense et sauvage
  • Densité de tétras très importante
  • Pression de chasse faible
  • Chasser seul avec son chien
  • Organisation bien rodée (guides, traductrice, cuisinière)

Raisons d’hésiter

  • Voyages long (avion et voiture)
  • Le stress du voyage qui peut gagner les chiens

DHD – Laika

Mathieu Breton
4 rue Paul Cézanne
75008 Paris
Tel : 01 42 89 32 64
Mail : info@dhdlaika.com
Site : www.dhdlaika.com

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