Enième exemple du problème que pose le sanglier partout dans le monde. La faute aux chasseurs français peut-être ?
Texte : Richard sur Terre
L’agraineur/chasseur français adore prendre ses vacances à l’étranger semble-t-il…
C’est bien entendu ce que veulent faire croire les association de protection animale qui adorent rabâcher leurs idioties à longueur d’année dans l’espoir de les faire entrer dans les caboches. On s’en fout que ce soit faux ! Il faut le dire, et le dire encore !
Dans le monde entier, les chercheurs se battent pour trouver des solutions. Dans toute l’Europe, mais aussi en Argentine, en Asie, aux Etats-Unis, au Maghreb, en Israël ! Mais non mes bons enfants ! Le problème c’est l’agrainage et les lâchers de sangliers français imaginaires qui sortent de la tête de l’ASPAS et de ses amis idéologues !
Pendant ce temps-là, à Rome, on fera des battues pour réduire les populations d’animaux devenus incontrôlables. C’est le journal Le Télégramme qui nous l’apprend.
Je voudrais vous dire que ce texte va servir à quelque-chose, et que des gens vont finir par s’apercevoir du vide absolu qui caractérise la pensée animaliste. Mais j’ai bien peur que les mois et les années qui viennent ne soient qu’une longue litanie de mensonges militants.
Une réponse animaliste peut-être face aux sangliers qui chargent les gens sur les parkings de supermarchés italiens ? Non mes amis. Pas de réponse.
Ils vont aussi vite que le train de l’information ; sans consistance aucune, informes et grotesques. Et ils continueront inlassablement de répéter que les chasseurs français sont responsables de la surpopulation de sangliers, avec une application benoite qui forcera l’admiration. Des dindons motivés devant un grillage.
Alors on sera là, encore. Comme on pourra. On sera là pour poser la question de la responsabilité des chasseurs français face à la surpopulation de sangliers au Maroc. Et on attendra dans le vide une réponse qui ne viendra jamais, parce que le temps d’un nouveau mensonge saisonnier sera venu.
Mais qu’importe mes amis ! Nous continuerons à jouer aux échecs avec le dindon en espérant que deux ou trois personnes s’arrêteront pour regarder la scène et réaliseront, un sourire navré barrant leur visage, qu’un dindon restera toujours un dindon ; quel que soit le temps qu’on prendra pour lui expliquer les règles du jeu.
Comme dirait l’autre, tu peux amener le dindon au point d’eau, mais tu ne peux pas le forcer à boire…
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Bonjour,
Il est clair que le sanglier est un animal prolifique et opportuniste d’autant que dans certains territoires son espace se réduit, les chasseurs manquent un peu trop à l’appel et que des villes aux poubelles débordant de déchets comestibles pour ces animaux sont leurs nouveaux espaces de survie.
J’aime bien les animaux, mais je n’aimerais pas vivre dans ces quartiers de Rome ou d’ailleurs où les sangliers se sont installés et défoncent les poubelles en répandant les déchets alentours.
En tout cas, les autorités de Rome n’ont pas proposé la stérilisation des sangliers.
Les écolos et animalistes devraient d’abord intégrer que l’homme qui fait partie de la biodiversité comme les autres animaux, sauvages ou d’élevage, se multipliant beaucoup, s’accapare des espaces naturels où vivaient des animaux qui, s’ils ne sont pas chassés, chercheront des alternatives pour se nourrir et ne pas disparaître.
Donc, s’ils souhaitent voir des animaux sauvages dans la ‘‘nature’’ qu’ils prônent d’abord de moins faire d’enfants.
Leur demander de cesser de raconter des c… oui, mais ce ne sera pas entendu par eux.
Les chasseurs doivent faire de la pédagogie et la multiplier pour que ces zozos ne contaminent pas trop le monde de leurs balivernes. Un dur combat, pas gagné d’avance, tant les médias reprennent facilement leurs âneries et leur donnent la parole sans contredire jamais des contrevérités sur la chasse ou la nature.
Bonjour,
Via Courrier International je suis tombé sur un article de TG24.SKY.IT dans la rubrique politica qui évoque le souci avec les sangliers en zones urbaines en Italie et cette autorisation de les chasser en ville (et de les consommer).
Mais ce qui particulièrement intéressant c’est l’information du nombre de morts causés par les sangliers (13 morts, soit plus que nos morts à la chasse pour une France plus peuplée que l’Italie) et des accidents graves au nombre de 261.
Avant que nous arrivions en France à ces travers, face aux écolos et animalistes aux petits pieds et leurs élucubrations,
il nous faut expliquer et défendre la chasse des sangliers qui nous préserve de ces excès.