Oui. L’objectif final de la chasse, c’est bien de tuer un animal. Pas besoin de me rouler par terre pour le reconnaître.
Texte : Richard sur Terre
Voici l’exemple parfait du mode de pensée qui ruine le débat public : prêter à son adversaire des positions qu’il ne défend pas (en l’espèce ma supposée négation de l’acte de tuer), pour ensuite émettre un jugement personnel gratuit qui ne regarde que son auteur.
Ma dernière vidéo, celle où je débats tout seul avec moi-même, est un véritable festival d’argumentaires fallacieux dans la section commentaires, que je vous encourage à lire. Vous y trouverez toute la science des dogmatiques, un feu d’artifice de biais de confirmations et autres jugements à l’emporte-pièce.
Mes amis anti-chasse : votre avis n’est pas un argument.
Je vous le répète autrement : ce que vous ressentez comme étant « mal », ne l’est pas forcément.
Sujet de philo : La morale étant variable en temps et en lieu, faut-il considérer l’existence d’une morale universelle ?
Et question subsidiaire (coef 7) : Ai-je le droit d’imposer MA vision de la morale à coups de rangers dans la gueule ?
Les Nouveaux Prédateurs
Comment ils menacent les hommes sans protéger les animaux ?
Un essai engagé qui met en évidence les dérives de l’écologie radicale et des militants antispécistes. Protéger les animaux, leur assurer des conditions de vie décentes, consommer autrement en respectant notre environnement… Qui serait en désaccord avec ces principes fondamentaux ? Mais, on le sait, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Aujourd’hui, les activistes antispécistes et les militants écologistes les plus radicaux détournent ces idées partagées par le plus grand nombre. Animés par une idéologie radicale, convaincus que l’intimidation peut remplacer l’échange démocratique, ils imposent, peu à peu, leur vision du “meilleur des mondes”.