C’est officiel : la bêtise militante tue. Pas des figures de style, pas des concepts abstraits, non. Des moutons, bien réels, écrasés sous la panique provoquée par des crétins en manque d’adrénaline.
Le 8 février, en Catalogne, une bande de « libérateurs d’animaux » s’est introduite dans une ferme du Pla d’Urgell, bien décidée à « sauver » des moutons de l’enfer de l’élevage. On les imagine, fiers comme des paons, phares allumés, cris hystériques, persuadés d’être les nouveaux héros de la cause animale. Sauf que leur action de « libération » s’est transformée en carnage.
Les bêtes, affolées par l’irruption brutale de ces imbéciles, ont paniqué. Résultat : des moutons piétinés, des brebis avortant de stress, un éleveur qui récupère les cadavres. Et le pire ? Ces guignols vont encore se draper dans leur « bonne intention », comme si vouloir « bien faire » excusait tout.
A lire aussi : L214 dénonce l’élevage de gibier
Il faut arrêter avec cette fable grotesque du militant illuminé qui sait mieux que tout le monde. Ce sont eux, les vrais bourreaux, avec leur idéologie délirante. Et bien sûr, ce sont eux qui, au final, se poseront en victimes si la justice – pour une fois – décide de les sanctionner.
Et l’éleveur dans tout ça ? Celui dont le métier est de s’occuper des bêtes, de les nourrir, de les protéger ? Il ramasse les morceaux, littéralement. Il s’occupe des survivants, tente de remettre de l’ordre dans son troupeau traumatisé. Et lui, bien sûr, restera le méchant dans l’histoire, face à des militants qui ont du sang sur les mains mais continueront à se pavaner en accusant le monde de barbarie.
A voir en vidéo :
On sent bien que le printemps n’est pas loin !!. En effet, les antitout ne passent pas un jour sans lancer une faxe news, un mensonge, une déformation de la vérité, bref à embêter (pour rester courtois) le monde.
Combien de temps encore on va laisser des illuminés faire n’importe quoi au nom du bien être animal avant de prendre de vrai sanctions contre ses dangereux personnages esque que l’on attend qu’un éleveur ce face justice pour réagir
Une fois de plus on peut voir dans cette triste histoire que ces gens ne connaissent rien à la nature ni aux animaux . Leur bêtise et leur ignorance font plus de mal que de bien . Quand bien même si ces brebis avaient étaient « rendues » à la nature , que seraient-elles devenues ?
Le loup se serait gavé !