L’accident de chasse : la vache à lait de la mauvaise presse

Revoici la valse des articles putaclics qui entretiennent une psychose artificielle, suite à la mort dramatique d’un chasseur dans le Vaucluse.

Texte : Richard sur Terre

Tous les médias sont là. Bien rangés comme des sardines dans une boîte, alignés comme à la parade : un accident de chasse a eu lieu.

Clic rapide et facile qui crée toujours autant d’engagement. Pourquoi, me demandez-vous ? Eh bien parce qu’il existera toujours des gens pour se réjouir de la mort d’un homme, et que ces réactions engendreront toujours d’autres réactions. L’algorithme se frotte els mains.

Voici un petit florilège :

« Encore un déchet de moins ! »

« Auto-régulation, un nuisible de moins ! »

« Encore un ? Très bonne année pour la chasse. Encore un qu’on ne pleurera pas ! »

« Il faut absolument réguler ces nuisibles. Un bon début ! »

« C’est une bonne nouvelle ! »

« Qu’ils se tuent entre eux ! »

Tout ça sous l’œil amusé d’un « média » qui vend votre espace de cerveau disponible à une marque de voiture.

Les Nouveaux Prédateurs

Comment ils menacent les hommes sans protéger les animaux ? Un essai engagé qui met en évidence les dérives de l’écologie radicale et des militants antispécistes. Protéger les animaux, leur assurer des conditions de vie décentes, consommer autrement en respectant notre environnement… Qui serait en désaccord avec ces principes fondamentaux ? Mais, on le sait, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Aujourd’hui, les activistes antispécistes et les militants écologistes les plus radicaux détournent ces idées partagées par le plus grand nombre. Animés par une idéologie radicale, convaincus que l’intimidation peut remplacer l’échange démocratique, ils imposent, peu à peu, leur vision du “meilleur des mondes”.