S’il y a bien un truc que ceux qui ont des choses à cacher ou se reprocher détestent, c’est le déterrage (du blaireau certes) des vieux dossiers. Et aujourd’hui la chasse française et surtout la chasse à courre, aimerait avoir quelques nouvelles de sa plainte contre AVA.
« L’équipage du baron d’Aillières traque en ce moment des cerfs autour du village de Saint-Pierre-Aigle. En entendant les hurlements lugubres de la meute à cet endroit, il est difficile d’oublier qu’il y a trois ans, une personne y avait été retrouvée morte à moitié dévorée parmi les chiens d’un autre équipage (le rallye La Passion) »
C’est ce tweet d’AVA qui est à l’origine de la plainte déposée par l’équipage de chasse à courre du Rallye la passion. Et on comprend pourquoi. Malgré le résultat des tests ADN, AVA continue de s’enfoncer dans le mensonge pour ne pas perdre la face et le respect de ses adhérents.
Des nouvelles également de la plainte déposée contre Sandrine Rousseau par la FNC ? En attendant le dénouement de ces affaires, la chasse française n’oubliera pas ces accusations et chaque acte de diffamation devra être dénoncé pour que les agissements et la progression de ces groupuscules cessent.
Bonjour,
Quand la justice va doucement c’est qu elle ne subi pas l’influence de médias et de la population. Enfin espérons le.
Le terme de « calomnie » plutôt que « diffamation » serait ici plus adéquat. La première étant la propagation d’une fausse assertion afin de nuire à la réputation de quelqu’un tandis que, dans le second cas et pour la même finalité, le diffamateur peut utiliser un fait réel. D’où la différence fondamentale entre la « dénonciation calomnieuse » et le « diffamation ».
Porter plainte pour diffamation peut donc être considéré comme un aveux de la réalité du fait incriminé.
La justice va faire son œuvre, soyons confiant. Et le jour venu, sachons relayer la sentence aussi bruyamment que les gesticulations de ces clowns.