ASPAS : la sécurité pour prétexte

Anti-chasse
date 16 septembre 2024
author Léa Massey

Sous couvert de préoccupations sécuritaires, l’ASPAS poursuit un objectif évident : l’interdiction pure et simple de la chasse. En se battant pour la création d’un nouveau fichier national du permis de chasser, l’association ne cherche pas à protéger qui que ce soit, mais à fragiliser la chasse par tous les moyens.

La création de ce fichier, obtenu sous pression juridique, comme le raconte l’ASPAS sur son site, n’est pas un simple outil administratif. C’est une arme de plus dans l’arsenal de l’ASPAS pour diaboliser la chasse et ses pratiquants. Derrière le prétexte de la sécurité, l’association instrumentalise la peur. Chaque incident est exagéré, chaque accident monté en épingle pour créer un climat de panique. Cette stratégie n’a rien d’innocent : en amplifiant les craintes autour des accidents de chasse, l’ASPAS impose l’idée que les chasseurs sont des dangers publics, qu’ils doivent être surveillés, contrôlés, puis bannis.

A lire aussi : ASPAS : c’est l’occasion qui fait le lardon

La rhétorique de l’ASPAS est claire : transformer la chasse en une pratique dangereuse aux yeux du grand public, pour rendre son interdiction inévitable. Elle ne défend ni les promeneurs ni les citoyens, mais exploite la peur pour arriver à ses fins. Derrière chaque bataille juridique, chaque nouvelle réglementation, c’est cette idéologie qui se cache.

Quoi qu’il arrive, nous continuerons à dénoncer cette manipulation dans les colonnes de Chasses Éternelles. L’ASPAS utilise la sécurité comme un prétexte pour mener un combat idéologique.

Ce n’est pas sur la base de la peur alimentée par l’ASPAS que nous devons décider de l’avenir de nos campagnes. Ces procédés de manipulation des masses, utilisés par les idéologues de tous bords depuis des décennies, doivent alerter l’opinion publique sur les dérives modernes de ces activistes qui veulent à tout prix passer pour des « lanceurs d’alertes ».

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4 Commentaires :
  1. Deuch
    16/09/24

    Aspas occupé vous de votre parc de valfanjouse plutôt que de la chasse je comprends pas pourquoi cette association est autant écouter

    1. Lolo0126
      16/09/24

      Ils sont écouté car, même s’ils sont très très très très peu, ils ont dans leurs rangs des E…..és friqués qui arrosent les médias putaclics, et ils sont écoutés par des faibles d’esprits, c’est comme les religions et les sectes, du pareils au même !!!

  2. REVILLET Eric
    16/09/24

    On comprend que d’aborder les biais et objectifs abusifs d’associations protectrice, pro, anti….
    Il y a des problèmes de fond difficile à percevoir. Le genre détournement du permis de chasse par une masse civile qui abuse en voulant s’intéresser aux armes à feu.
    La chasse fait partie de l’observation tout en présentant des risques de s’approprier un rôle exagéré de police.

    En gros « mort au ecolo » et « s’approprier l’écologie « , au niveau stabilité de l’esprit nous avons â faire au problème (syndicat agricole, FNsea…).

    Du genre L214? D’un autre le transporteur d’animaux est satisfait de pouvoir charger sans vivre en ouvrant la porte des vaches sur le dos . .

    Comme Ferus et fédération/confédération paysanne, pour du commun et aussi des demande exagéré des deux côtés.

    Oui, tout plein meute humaine !

    Les dires par réflexe sont parfois très extrême et d’autres plutôt à mener sur l’équilibre de l’esprit « le loup est très bon chasseur » (exprime ces capacités ), « Il y a du loup et il y aura du loup  » (il faut du loup), « Il y a plus de lapin à chasser » (il y à du lapin).
    Vivre le surplus de lapin, il faut du renard et à mon avis, déclarer les renards prélevés par les fermes….

    Terrible!!! Un coup le loup ne peut pas réguler le gibier et après d’autres rouspète après le loup soit disant qu’il n’y a plus de gibier.

    Une chasse observatrice ? Avec du prélèvement passif, tout en ayant la contrainte d’une chasse poussé par des exigeance…

    Enfin moi, mon problème est plutôt les paramilitaires non-conventionnel de civile.
    Aussi rappeler fortement au berger « l’appuis du respect du permis de chasse ».
    Le respect de la létalité et l’inverse en cas d’effarouchement d’éviter les blessures pouvant compromettre la future chasse du prédateur naturel….

    Un chasseur n’est pas armé (n’existe pas au permis de chasse). Souvent des prétexte anti-arme qui vont faire l’inverse et alimenter un autre monde qui n’est pas voisin à la chasse (pas facile à expliquer).

    Là, y a rien, mi Aout un sanglier gravement blessé en pleine juste appelé la gendarmerie quu à fait intervenir un lieutenant de louveterie, 10 jours après un bélier mort dans une zone éloigné (échoué d’un alpage ?), Pas encore désabonner des alertes SMS de suspicion de prédation du loup (pas le droit de dire où).
    Mais d’un autre 1 attaque de 1 seul victime en général, le surplus de tuerie que l’on redoute en voyant une mordue, il y a forcément une consommé (sauf si interrompu).

    1. REVILLET Eric
      16/09/24

      Pas simple ! Aussi bien le TDR Tir de Défense Renforcé annulée au bout de la 4e nuits où j’ai pas demandé pourquoi, par respect des lieutenant de louveterie. Mais j’ai appuyé que envers la DDT que le tir Défense était une véritable réussite (m’obligeant à prendre le dessu sur des dired potentiels).
      Possible que des éleveurs ont traités de bon rien les lieutenant de louveterie ou même des chasses qui se sont permis abusivement le genre de dire. Donc pas forcément que les associations protectrice.

      Compliqué, d’expliquer scientifiquement « agit brièvement à vue, proie hors de vue », mais vous n’imaginez pas dans le contexte où nous somme rare à accompagner les brebis nocturnement où ma phrase ne percute pas véritablement envers les intervenants. Et comme exemple j’ai probablement oublié de préciser si sa bouge sur coin du troupeau et que l’on éclairé et rien, là il faut considérer qu’il est déjà hors de vue avec la proie.
      1 victime consommé est pas grand chose, même 2 en 2 nuits.
      Mais la 2e devient particulière en ayant le sternum intact, et par rapport à la distance, contexte à vue sur 300m et l’obstacle visuel ne permettant un confort de consommation… Épaule découpé et le loup est parti avec.
      Le contexte de la 2e nuit, parc explosé, les brebis dehors en pleine nuit…
      Mais, 5e nuit après annulation du TDR, je tir une fusée en direction de l’activité des patou et peu après le 2e loup fuit à 5m sous un mur, mais trop tard pour agir.
      Mais encore la 6e nuit, si le TDR comme je le voyais en exploitant une zone favorable, trop loin pour du létal au canon lisse, et une fusée au pied du loup à 80-100m au pied d’une falaise.

      Le contexte, des contextes, étant le dernier à dire oui pour le TDR, le début? Le TDR est existant, et pour entretenir l’outil j’ai dis oui toit en sachant  » qu’il y aura du loup  » mais si les 2 abattus.
      Mettre dans le bain, avoir un aperçu de loup performant, voir même envisagé de super loup, pro de pro de la chasse….

      Donc certain se sont permis de dire que le TDR ne fonctionne pas, alors qu’il a tendance à fonctionner en fonction des contexte. Car si l’on n’a pas d’indice sur l’intensité des tentatives d’attaques, pas faire d’efforts de constater les mouvements de troupeau (départ !!! Le loup qui tente et le patou qui agit de suite)

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