Chasse : RMC dit des conneries

Anti-chasse
date 19 novembre 2024
author Richard sur Terre

Amélie Rosique, chroniqueuse sur RMC, accuse les chasseurs français d’avoir provoqué la prolifération des sangliers. Analyse d’une affirmation simpliste débunkée 100 fois.

Dans sa chronique pour RMC, Amélie Rosique avance que « les chasseurs se sont tournés vers le sanglier » après le déclin du petit gibier et qu’ils auraient « fait augmenter artificiellement leur population » en relâchant des sangliers dans la nature. Une accusation séduisante pour les détracteurs de la chasse, mais qui ignore l’ampleur globale d’un phénomène dont personne ne semble vouloir appréhender la complexité.

Le phénomène sangliers : un défi mondial

La prolifération des sangliers est une réalité qui dépasse largement les frontières de la France. Dans les provinces argentines, ils sont devenus une espèce envahissante, soutenue par des conditions climatiques favorables et l’absence de prédateurs naturels. Au Japon, les zones rurales en dépeuplement et la transformation des écosystèmes ont vu les sangliers coloniser les campagnes, sans que la chasse française ne puisse être incriminée. En Israël, notamment en Galilée, leur prolifération est liée à l’absence de tradition cynégétique et aux changements environnementaux. Enfin, au Maroc, les dégâts agricoles causés par les sangliers témoignent encore d’une dynamique de croissance indépendante des chasseurs français.

A lire aussi : Arrêt de la chasse au sanglier : il se passerait quoi ?

Ces exemples montrent que la prolifération des sangliers est un phénomène mondial, façonné par des facteurs tels que le réchauffement climatique et les pratiques agricoles modernes, et non par une quelconque manipulation des chasseurs français.

Le rôle des chasseurs : gestionnaires, pas responsables

En France, comme ailleurs, les chasseurs interviennent pour limiter les dégâts causés par cette prolifération. Ils contribuent à éviter des catastrophes écologiques et économiques en régulant les populations. Ces efforts ne doivent pas être confondus avec une hypothétique volonté de « surpeupler » les campagnes de sangliers, une affirmation sans fondement sérieux.

Chroniqueurs, osez la rigueur !

Amélie Rosique, en attribuant aux chasseurs une responsabilité globale, simplifie une problématique complexe et détourne le débat des causes réelles de cette explosion des populations de sangliers. Il est temps que les voix médiatiques adoptent une approche rigoureuse et factuelle pour éclairer les citoyens, au lieu de nourrir les préjugés. Le débat sur la chasse mérite mieux que des idées reçues rabâchées sans vérification, qui ne flattent finalement que les esprits simples.

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28 Commentaires :
  1. Deuch
    19/11/24

    Je me demande comment son recruter les journalistes ils connaissent de moins en moins leur sujet mais s’est pas grave il suffit qu ils parlent de la chasse pour raconter n’importe quoi mais sa passe Mme et messieurs les journalistes faites votre travail correctement pour salir la chasse on a déjà des professionnels du mensonge qui je suis sur ce reconnaîtront

    1. Lola
      20/11/24

      Ouais par contre toi tu as pas été recruté pour ton orthographe et ta grammaire

      1. Deuch
        20/11/24

        Je ne vous ai pas tutoyé donc je vous demanderai de bien vouloir faire de même quand à mon orthographe je n’ai pas l’habitude des ordinateurs qui écrive les mots en automatique contrairement à vous je ne suis pas né avec moi

      2. Marc
        21/11/24

        Tu N’as pas …

  2. Thierry
    20/11/24

    Quand on voit les approximations, mensonges, biais d’analyses ou idéologiques des journalistes concernant la chasse ou tout autre sujet pour lequel on est un peu expert, on vous laisse réfléchir à la qualité d’information qu’ils nous servent pour tous les autres sujets…..

  3. jean louis Chaix
    20/11/24

    les anti chasse ne connaisse rien il se base sur les on dit ils on peur de prendre une balle dans les bois alors qu il risque 100 fois plus sur la route ou dans les banlieues , ils ne vont pas donner a boire l ete a la faune ils nettoie pas les chemins , donc ils sont bon juste pour critiquer, quand on parle sans savoir on ferme sa gue….

    1. Lola
      20/11/24

      Il y a des randonneurs embauchés exprès par la Fédération de randonnée pour recréer les chemins bizarrement des fois inexplicablement il manque un panneau souvent arraché par les chasseurs sans parler d’une falaise à côté d’Aix-les-Bains saccage est régulièrement par les chasseurs qui ne veulent pas que les grimpeurs viennent.

      1. Jean
        20/11/24

        Lola,je participe au ramassage des ordures laissées dans la nature , tenté d aider les pompiers, participé a la mise en place d abreuvoirs,puis les remplir régulièrement ect.sans jamais voir un soit disant écolo.il y a des imbéciles partout mais au lieu de critiquer sans arrêt,parce que vous n aimez pas( c est votre droit)agissons plutôt ensemble.pour vos panneaux,avez vous vu les chasseurs les détériorer,il vaudrait peut être mieux que toutes les activités se pratiquent,se côtoient en bonne intelligence.

  4. Lola
    20/11/24

     » nous bassinent »/ flottent dans les esprits légers…. toujours dans la violence les articles de chasseurs… reflet de leur personnalité? Tuer, violence….

  5. Sauvage
    20/11/24

    Humm, si Amélie Rosique « dit des conneries »_ elle n’est pas la seule, car j’ai moi même entendu des chasseurs me dirent …la même chose !!! 😉

    1. billabong
      20/11/24

      mais bien sûr …

  6. Pierre
    20/11/24

    En tant que chasseur, il est vrai que certains d’entre nous débattent parfois avec des œillères. Mais si il y a bien quelque chose qui me fascinera toujours, c’est la capacité des écologistes à pointer du doigt les nôtres sans voir les leurs.

    Un sanglier consomme en moyenne 4kg de nourriture par jour. Dire que les chasseurs sont responsable de leur sur-population c’est admettre que sans leurs soins les sangliers n’auraient pas assez à manger. Hors la population continue d’augmenter. Donc pour être gentil, on va dire que les vilains chasseurs nourrissent 1/4 de la population des 2 millions de sanglier en France. Ça va pas leur plaire aux écolos, pour eux on est responsable de la totalité. Mais bon trêve de plaisanteries, 1kg par jour par sanglier ça fait 2 millions de kg par jour soit 2kg par chasseurs.

    Pour remettre en perspective, ça représente 730kg par ans par chasseur ou encore 730 millions de kg tout chasseur confondu chaque année soit 730 000 tonnes. A 200€ la tonnes c’est 146 millions d’euros. Et encore, il faudrait s’assurer que l’ensemble de la nourriture est consommée, et par les sangliers et seulement les sangliers, etc. Alors oui désolé ça fait beaucoup de conversions et puis tout cela est un peu approximatif mais on parle là de quantités qui sont simplement ABSURDES. Rappelons aussi que l’agrainage est une pratique ENCADRÉE (et légale) !

    En fin bon je m’indigne que les mêmes ramassis de conneries soient systématiquement utilisés. Il s’agirait de trouver de nouveaux arguments, constructifs de préférence et qui, à l’occasion, nous donne un peu de fil a retordre.

    Amicalement,
    Pierre.

  7. Nestor
    20/11/24

    Ah tiens, on entre dans l’ère de la post-vérité ici aussi donc.
    Les lâchers de sangliers dans les années 70 sont une réalité connue de tous, et les raisons de ces lâchers sont effectivement liés à la disparition du petit gibier suite au remembrement des parcelles agricoles…
    Je ne vois pas bien en quoi le nier fait avancer la chose, mais bon.
    Je ne vois pas non plus en quoi le fait de parler de l’Argentine (où le sanglier a été introduit pour et par les chasseurs locaux) ou du Japon (où la sous-espèce locale s’est répandue dans la zone interdite de Fukushima pour s’hybrider avec les porcs échappés des élevages abandonnés) peut avoir à faire avec notre problème européen, mais bon soit.
    Après tout, c’est vous les « experts » de l’espèce hein.

    Bref, vous dites beaucoup plus de conneries que RMC en somme.

    1. billabong
      20/11/24

      ce qu’il s’est passé dans les années 70 n’a aucun rapport avec l’explosion de la population des sangliers à l’heure actuelle. D’ailleurs il ne s’agit pas que des sangliers mais de tous les ongulés , le sanglier a cela de différent des autres espèce qu’est son taux de reproduction de 100% sur 1 an mais c’est bien tous les ongulés qui voient leur population augmenter et cela depuis 1995-2000 . Et le même constat peut se faire à l’échelle mondiale même si cela vous fait mal de l’admettre. Allez donc consulter les chiffres de l’ofb , les courbes en fonction des années sont similaires du chevreuil au sanglier en passant par le cerf !

      1. Nestor
        21/11/24

        Bonjour Billabong,
        Va vous falloir une sacrée source pour démontrer que les lâchers historiques n’ont « aucun rapport » avec les populations actuelles…

        Mais soit, si vous savez qu’il n’y a aucun rapport c’est que vous savez pourquoi les populations d’ongulés sauvages sont en augmentation !
        Pourquoi donc, expliquez nous ?
        Je suis sûr que dans votre vision de la chose, l’activité cynégétique n’a aucun rapport avec cet état de fait…

  8. Pierre
    20/11/24

    Nestor, les arguments qui concernent l’Argentine et le Japon servent simplement à démontrer que le problème n’est pas lié aux chasseurs Français puisque le problème existe ailleurs.

    Aussi Richard évoque Israël où la culture cynégétique est pratiquement inexistante. Alors si les sangliers prolifèrent mais qu’il n’y a pas de chasseur, le problème n’est pas lié aux chasseurs. CQFD

    Pour les lâchers de sangliers, si ils ont bien euh lieux, personne ne le nie, ils n’ont pas été fait à suffisamment grande échelle pour justifier de la population actuelle.

    Des lâchés de faisant et de perdrix ont d’ailleurs régulièrement lieux pour préserver les espèces c’est normale. Et si l’on veut pousser l’argument plus loin, les écologistes seront-ils un jour responsables si une sur-population des différentes espèces qu’ils protègent et relâchent survient?

    Amicalement,
    Pierre

    1. Nestor
      20/11/24

      Bonjour Pierre,
      Ils servent surtout à pointer le doigt ailleurs. Qu’il y est des problèmes liés aux sangliers au Japon, en Argentine ou en Israël qui ne soient pas dû au chasseur français ne veut pas dire que le problème de surpopulation des sangliers en France ne soit pas lié à la « gestion » par les chasseurs français…

      Et… Si, Pierre. Lâcher des milliers de sangliers il y a 50 ans peut contribuer à expliquer la surpopulation actuelle, je vois pas trop où serait l’incohérence ?

      Pour ce qui est des lâchers de faisans (espèce qui n’est pas originaire d’Europe de l’ouest et qui est présente en France uniquement pour le loisir cynégétique, il est toujours bon de le rappeler) ou de perdrix, vous n’allez tout de même pas me faire croire que les chasseurs les réalisent pour la beauté du geste ?

      Et enfin :
      Quelles sont ces espèces relâchées par les « écologistes » ?
      Qui sont ces « écologistes » ?

      Bonne journée.

      1. Jean
        20/11/24

        si OBÉLIX pouvait revenir,il nous les regulerait!

      2. Jean
        20/11/24

        Nestor, un exemple parmi tant d autres,un intelligent a ramené d Amérique quatres grenouilles taureaux (saint loubes)pour orner sa mare, résultat elles ont envahi le sud ouest et déciment nos grenouilles .non chasseur.

        1. Nestor
          21/11/24

          Jean,
          Oui effectivement la Grenouille taureau est une espèce exotique envahissante. Tout comme le Ragondin et les Trachémydes américaines.
          Et donc ?
          Vous considérez que toutes ces introductions sont dues aux « écologistes » ???

          Alors en vrai, et question on ne peut plus sérieuse : Vous entendez quoi quand vous parlez des « écologistes » ? Parce que je crois que là déjà y’a un point à discuter.

  9. Pierre
    21/11/24

    Bonjour Nestor,

    Utiliser les autres pays comme exemples ne sert pas à pointer du doigt ailleurs. L’expansion des populations de sangliers est global , et, si il n’y a pas de chasseurs mais qu’il y a quand même une sur-population de sangliers, il devient rationnellement compliqué de les accuser.

    D’autant plus que ce phénomène est concomitant avec la proliférations des autres espèces d’ongulés.

    Si les lâchers de sanglier ne sont pas exempts de toute responsabilités, l’ampleur du phénomène actuel s’explique difficilement par ce seul constat. Le réchauffement climatique et les pratiques agricoles actuelles sont de bien meilleurs indicateurs puisqu’une fois de plus, même sans chasseurs pour effectuer ces lâchers, les populations augmentes.

    Les faisans n’ont pas été introduits en France par les chasseurs (au sens moderne du terme), mais ils ne sont pas natifs de nos régions je vous l’accorde. Mais que faites vous des perdrix rouges qui elles le sont? Si l’objectif est parfois de ce servir de ces lâchers comme gibier de tir, ce que je désapprouve, il y a aussi un but de conservation de ces espèces.

    Pour preuve la LPO a elle même effectuée des lâchers de Gypaètes barbus et ce tout les ans de 2013 à 2021. Si la population de Gypaètes barbus vient à excéder le raisonnable, la LPO sera t’elle alors tenue responsable?

    Il est évident que les objectifs ne sont pas les mêmes, et que une stabilisation de la population de gibier permettrais le tir au long cours, mais je reste persuadé qu’un terrain d’entente existe. Notamment au niveau des espèces protégés que les chasseurs participent aussi largement à conserver, chasse ou non.

    Il est vrai que mon utilisation du terme «écologiste» n’était pas correcte puisqu’en tant que chasseur, écologiste, je le suis également. Opposant à la chasse aurait été plus adapté.

    Amicalement,
    Pierre

    1. Jean
      21/11/24

      Nestor,je n’ai pas écrit écologiste mais non chasseur,car je pense que la préservation de la nature,des ressources ça concerne tout le monde.

      1. Nestor
        22/11/24

        Bonjour Jean,
        Je me suis effectivement emmêlé dans mes réponses, vous n’aviez pas parlé « d’écologistes ».

    2. Nestor
      22/11/24

      Bonjour Pierre,

      Point par point :
      Je ne sais pas si je me suis fait comprendre mais ce que je voulais dire, c’est que l’action des chasseurs (dont les lâchers historiques, qui sans être une constance, sont quand même souvent un facteur dans les surpopulations de sangliers et ce partout dans le monde) est EN PARTIE responsable de l’explosion des populations de sangliers. Évidemment, c’est multifactoriel et d’autres cas dans le monde ne sont pas forcément liés à l’action cynégétique.
      Mais dans le cas français, la responsabilité au moins partielle historique (et actuelle) des chasseurs à ce sujet n’est pas vraiment sujet à débat. On peut toujours discuter des « degrés » de responsabilité entre chasseurs/remaniements agricoles/changements climatiques mais ça n’avancera pas à grand chose je pense.
      C’est en cela que je dis que parler des cas Japonais ou Israéliens ne servent qu’à « pointer le doigt ailleurs ».

      Pour ce qui est des faisans et des perdrix. C’est justement un cas qui illustre parfaitement les problèmes de « gestions » de la biodiversité par les chasseurs.
      Il a été démontré que de tels lâchers avaient un impact non négligeables sur les populations herpétologiques locales (lézards et serpents en particuliers), en plus de « polluer » les pools génétiques de perdrix sauvages avec des individus sélectionnés pour l’élevage…
      Donc non seulement ces lâchers se font au détriment de la biodiversité que les chasseurs négligent parce que non chassable, mais ils provoquent en plus des détériorations des populations sauvages des espèces que vous prétendez vouloir gérer et protéger !
      On repassera donc sur le but de conservation…

      Je ne vous ferait pas l’insulte de vous demander si vous comparez sérieusement les dynamiques de populations du Gypaète barbu avec celles le Sanglier, ce serait vraiment insultant pour le coup.
      Je pense que les responsables de la LPO peuvent dormir sur leurs deux oreilles concernant une possible « explosion des populations » de grand rapace protégé…

      Et pour ce qui est d’un terrain d’entente, j’ai peur que ce soit au monde de la chasse de revoir ses positions parce que j’ai l’impression que les agriculteurs en ont un peu marre de votre gestion de cette espèce en particulier.

      Et d’accord j’entends votre proposition « d’opposant à la chasse ».
      Soyez vigilant cependant, l’utilisation à outrance des termes comme « écologistes », « écolos », « verdâtres’, j’en passe et des meilleurs amène une polarisation du débat qui rends inaudible tout vrai débat de fond.
      (« c’est nous les gentils, et les méchants c’est tout ceux qui ont une opinion différente de la mienne » en grossissant le trait)
      Ce même reproche peut d’ailleurs être adressé aux opposants de la chasse (dont je fais effectivement un peu partie), qui peuvent aussi avoir tendance à regrouper l’ensemble des chasseurs dans un même sac grossier, agressif ou assoiffé du sang de Bambi. Ce qui est tout autant stupide, on sera au moins d’accord là dessus.

      Une bonne journée à vous, Pierre.

      1. Jean
        22/11/24

        Nestor,je chasse sur deux communes,une a effectué des lâchers de sangliers dans les années 70/80 mais prenons l exemple du chevreuil,aucun lâcher,juste quelques animaux déplacés où Ils étaient absents et pourtant aujourd’hui ils causent beaucoup plus d accidents routiers que le sanglier.quand vous dites que nous négligeons la biodiversité,je participe au ramassage de déchets,a l plantation d une haie,que des chasseurs présents.pourquoi ne jamais parler des véhicules,des chats(qui tuent plus que la chasse),des pesticides,des éoliennes,des baies vitrées,ect.et nous car la chasse n est quand même pas responsable de la disparition des insectes.j ai des livres d histoire ou il est expliqué que quasiment tout le monde. chassait,pêchait,piegeait(sur le bassin d Arcachon on ne chassait pas le canard,on le pêchait avec des filets la nuit)et la faune était abondante.je ne nie pas certains abus mais nous ne faisons souvent que répondre a des attaques injustifiées voire mensongères.

  10. Bruckner daniel
    23/11/24

    Je trouve dommage que les commentaires de la plume de Richard soit envahi par des règlements de comptes entre pro et contre. Ce sont des écrits stériles qui ne font avancer la situation d’aucune façon. C’est bien triste.
    Reprenez vous Mesdames et Messieurs n’en faîte pas un défouloir.

    1. Jean
      23/11/24

      C est sur ,le votre fait avancer la situation

  11. serge
    02/12/24

    La ferme à coté du lieu de chasse réserve ses terres et ses bois et ne permet pas la cueillette des champignons ou le ramassage des escargots, c’est son droit. Cependant, il n’y a pas d’animaux en plaine (lièvre faisans perdrix) ni dans les bois. Je ne sais pas ce qu’il faut conclure mais surement pas que l’absence de chasse favorise véritablement la faune.

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