Steak végétal : Alors j’entends bien la demande des agriculteurs autour des appellations des produits issus de l’élevage. En revanche j’ai une question : on s’en tape, non ?
Il est des ces débats qui parfois me laissent pantois. Un steak de bœuf et un steak végétal sont deux produits très différents. L’un est issu de la chair d’un animal, l’autre d’un amalgame de substances végétales. Qu’on l’appelle « steak » ou « spécialité », il faut vraiment faire peu de cas de l’intelligence de nos concitoyens pour penser que ça va changer quoi que ce soit dans leurs habitudes alimentaires.
Prenez, mettons, un produit : les lardons. Sur l’emballage, l’un est étiqueté lardons de porc, l’autre, lardons de soja. Pensez-vous les consommateurs assez stupides pour ne pas faire la différence ?
A ce compte-là pourquoi ne pas faire interdire l’appellation « fleur de sel » ? Bah non la fleur de sel, c’est pas vraiment une fleur, figurez-vous. Et le steak à cheval, que c’est même pas du cheval ?
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Les végans et autres moralisateurs de l’assiette se servent de cette histoire fumeuse comme d’une tribune. Les entreprises qui proposent des substituts à la viande se frottent les mains, et commentent toutes ces agitations, le sourire aux lèvres.
Ne voyez-vous pas le piège qui est tendu ? Pendant qu’on cause et qu’on s’écharpe sur des conneries, ces boites se régalent de pub gratuite.
98% des français mangent de la viande, et ce chiffre ne baisse pas. Le véganisme est marginal, comme dans la majorité des pays du monde.
Maintenant, concentrons-nous plutôt sur une meilleure consommation des produits issus de l’élevage. Achetons local, et refusons de se baffrer de fast-food et de poulet thaïlandais. Nos éleveurs ont besoin de notre soutien, et c’est en leur faisant confiance qu’on fera perdurer un modèle économique vertueux.
Laissez-les donc bouffer du « steak végétal » si le cœur leur en dit. On a d’autres chats à fouetter.
A voir en vidéo :
Moi, la seule indication qui m’intéresse vraiment, c’est « produit en France ». Et plus c’est local, mieux ça vaut !
perso ,j’ajoute que faire la cuisine est un plus, gustatif et financier ,faire plaisir ,et une image de soit en société.
ben c’est un point de vue qui vous appartient. personnellement je trouve que ça contribue de la propagande du veganisme, qui ment et cherche à tuer les usages. ce n’est pas anodin je trouve et pas sans impact. la plupart des gens croient au mensonge de cette substitution , à l’équivalence nutritive. in fine comme l214 le but est de faire disparaître la viande. et avec nos 1griculteurs mais aussi nos bocages. on voit l’impact de la culture céréaliere sur nos milieux versus l’élevage.
c’ddt comme mentir pour faire croire qu’on peut gerer le sanglier par la sterilisation.
alors non, on s’en fout pas 😉
ben c’est un point de vue qui vous appartient. personnellement je trouve que ça contribue de la propagande du veganisme, qui ment et cherche à tuer les usages. ce n’est pas anodin je trouve et pas sans impact. la plupart des gens croient au mensonge de cette substitution , à l’équivalence nutritive. in fine comme l214 le but est de faire disparaître la viande. et, avec nos agriculteurs, aussi nos bocages. on voit l’impact de la culture céréaliere sur nos milieux versus l’élevage.
c’est comme mentir pour faire croire qu’on peut gerer le sanglier par la sterilisation. ça fait sourire au début, et puis ensuite on désespère de voir la doctrine s’immiscer dans les têtes des électeurs, et de l’impact dans les esprit que cela garde. avec la conséquence indirecte de conclure : les chasseurs peuvent disparaître.
alors non, on s’en fout pas 😉
Je ne suis pas d’accord avec Richard.
On ne s’en fout pas.
Pourquoi ? Parce que vous avez de plus en plus de cantines d’entreprises ou scolaires qui proposent des STEAKS végétaux.
Tout le monde ne va pas faire ses courses pour l’intégralité de ce qu’ils mangent. Il y a beaucoup de cantines avec des adultes et des enfants qui y déjeunent 5 fois par semaine.
On doit appeler un chat, un chat. Il faut être clair.
Je crois volontiers que les salariés adultes savent que ces steaks végétaux ne sont pas conçus avec de la viande animale.
Je crois aussi qu’ils n’en connaissent pas la composition, la quantité d’apports en vitamines, en sels minéraux et en graisses, ni les manques par rapport à de la viande.
Nos enfants, eux, trouveront facilement ces produits à leur goût grâce à la forte teneur en gras de ces substituts végétaux, le gras apportant facilement une sensation de satiété. C’est de la mauvaise nourriture qui n’apporte pas les éléments nutritifs de la viande animale.
Parmi les anti-chasse il y a toute une mouvance animaliste, antispéciste, végane et écologiste qui prône comme solution la substitution de la viande par ces produits industriels que sont les steaks végétaux.
Et nous avons des personnes parmi ceux-là que nous connaissons bien ici qui sont financés par des gros investisseurs dans l’industrie agroalimentaire pour dénigrer la viande, la chasse et promouvoir des solutions alternatives végétales ou qui peuvent aller jusqu’à de la culture cellulaire.
Le jour où il y aura un étiquetage systématique comportant le comparatif complet entre la viande naturelle et ces produits de substitution, nous aurons un peu plus d’éducation et de compréhension des apports de la nourriture pour la santé des gens.
Vendre de la cochonnerie c’est faire plus facilement des bénéfices juteux.
Il faut réapprendre que la nourriture, la bonne de préférence, cela a un coût et que c’est essentiel pour être en bonne santé.