Vous vous souvenez du projet d’extension d’un chenil de vènerie que One Voice tentait par tous moyens d’empêcher, et dont je vous ai parlé ici il y a peu?
On avait compris que c’était malhonnête et con – mais grâce au journal du Pays Yonnais, on apprend que c’est ENCORE PLUS CON que nous ne l’imaginions.
En effet, par le passé, les chenils qui accueillaient jusqu’à 100 chiens se contentaient d’une déclaration ICPE. Mais depuis fin 2021, c’est une autorisation ICPE qu’il faut obtenir, dès 50 chiens. Le chenil visé par One Voice accueillant un peu moins de 90 chiens, son propriétaire à donc préparé et déposé un dossier de demande d’autorisation en 2022 pour se mettre en conformité avec cette nouvelle réglementation.
Bref, le chenil est DÉJÀ tel que décrit dans le dossier déposé en préfecture. Il ne s’agit en l’espèce que d’une formalité administrative.
Mais One Voice, eux, tout occupés à raconter n’importe quoi, demandent l’interdiction de ce projet d’extension qui, comme nous venons de le voir, n’existe que dans leur tête. Ce qu’ils demandent en réalité, c’est qu’on oblige le propriétaire à donner ou tuer une partie de sa meute. C’est évidemment INEPTE.
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Dans mon précédent article, je subodorais que l’association s’attaquait à une mauvaise cible, compte tenu des indices forts que l’on pouvait glaner concernant l’expérience du propriétaire des lieux en matière de tenue d’un chenil et de bien-être des chiens de meute.
L’article que je vous partage aujourd’hui est l’occasion d’en avoir la confirmation, par les propos du propriétaire en personne, et quelques photos de ses installations.
Allez y jeter un œil :
Outre la considération du maître des lieux pour sa meute autant que pour ses voisins, vous verrez que ce que One Voice à tenté de faire passer pour une prison de l’horreur pour chiens relève plus du palace 5 étoiles, quand nombre de refuges d’asso pour les animaux évoquent plutôt le dernier des hôtels les plus miteux.
Monsieur Drach,
Avec One Voice et d’autres qui multiplient les fausses informations et les dénigrements, voire des dénonciations calomnieuses, il serait utile de se pencher sérieusement sur le DROIT DE RÉPONSE qui s’applique à la presse écrite et sur Internet, sur l’audiovisuel aussi, mais il n’est pas prévu d’amende en cas de refus de publier pour ce dernier média (amende de 3750 €).
Leurs lecteurs auraient ainsi connaissance des grosses nuances à apporter à leur propagande.
Une image vaut mille mots, dit-on. Si vous pouviez ajouter ici une photo du superbe chenil de Monsieur Sechet, on apprécierait mieux la bêtise de ces gens de One Voice sur ce sujet.