L’ASPAS traite tous les sujets comme ça : par-dessus la jambe, sans à peine lire les sources, et TOUJOURS en racontant des âneries.
ASPAS : Association de Protection des Animaux Sauvages
C’est l’histoire d’un homme qui voulait empêcher les chasseurs de chasser sur ses terres. Jusque-là, rien de bien original. C’est dans les cordes de l’ASPAS, et l’asso ne s’est pas privée pour faire un peu com :
Sauf que l’homme en question n’avait pas exactement prévu de transformer sa propriété de huit hectares en sanctuaire de vie sauvage/porcherie. Il avait prévu de garder ses terres pour lui, et d’y chasser tout seul. Et ça…c’est plus compliqué. Et qui mieux que le suidé grognon pour expliquer tout ça :
« Mais ici, s’agissant de s’y réserver le droit de chasse pour son usage personnel, la condition de superficie minimale imposée spécifiquement pour exercer un droit de retrait cynégétique n’était pas remplie. (Cette condition n’existe pas pour le retrait par opposition de conscience) »
Bref l’ASPAS, toujours dans ce soucis d’information qui la caractérise, se retrouve complètement à côté de la plaque et intoxique les gens qui la suivent. Gens qui ne prendront évidemment pas la peine de lire l’article et qui se contenteront de partager des conneries, la bave aux lèvres et la paupière basse. Ubuesque donc…
A voir aussi :
Pourquoi ne pas employé leurs méthodes vidéo du parc et dépôt de plainte pour cruauté envers les animaux se qui pour une association de protection est un comble et tout sa avec nos impôts
Un reportage en immersion à Vafranjouse serait le bienvenu, car sans chasse (ou autre pratique de régulation) la situation doit être catastrophique.
Les animaux doit être denutris et la végétation – foret comprise – totalement détruite.
Vite Clément , un reportage sans concession.