Quand on différencie chasseur et braconnier, les anti-chasse perdent leur narratif simpliste. Et ça, ils ne le supportent pas.
Sérieusement, c’est quoi leur problème ? Ces gens qui sortent la grosse artillerie dès qu’on ose dire que chasseur et braconnier, c’est pas la même chose, ils me fatiguent. Prenez l’affaire des braconniers de l’Isère : des types qui se planquent dans leur pick-up, fusil chargé, pour flinguer des animaux protégés en pleine nuit, éclairés comme à un concert de Rammstein. Bah c’est révoltant. Mais ça n’empêche pas One Voice de débarquer avec son refrain habituel et ridicule : le vrai problème, c’est la chasse. Oui, bien sûr. Si la chasse, activité légale avait été interdite, les bracos auraient été bien attrapés, évidemment. Dieu que c’est débile…
Non, les chasseurs, ils sont là, bien droits dans leurs bottes, à déposer plainte, à se porter partie civile, à réclamer des sanctions exemplaires. Et pourtant, pour les anti-chasse, c’est toujours le même disque rayé : fusil, mort, méchants. Pas de nuance, pas de subtilité, juste un gros tas de clichés. Pourquoi ? Parce que ça leur va bien. Ça simplifie tout. Pas besoin de réfléchir : fusil = carnage = apocalypse.
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Et c’est pareil quand il s’agit de crimes perpétrés avec des fusils dits « de chasse ». Dès qu’un fait divers sordide surgit, c’est l’arsenal anti-chasse qui dégaine. On ne parle plus du criminel, des circonstances, du contexte. Non, c’est la chasse, c’est le fusil de chasse. Comme si le fusil portait en lui tout le mal du monde, qu’il avait incité tout seul à commettre l’irréparable. Leur stratégie est limpide : rendre l’outil coupable, pour mieux accuser toute une pratique, toute une communauté.
Mais c’est trop facile, leur truc. Cette confusion qu’ils entretiennent, c’est leur fonds de commerce. Si demain les gens se mettaient à comprendre qu’un chasseur peut être éthique, respectueux, utile à l’écosystème, ils feraient quoi ? Ils perdraient leur public. Parce que sans cette image du méchant chasseur, leurs pétitions, leurs campagnes, leurs hashtags rageux, ça sonnerait creux.
Et franchement, ça leur fait peur, cette nuance. Parce que dans chaque procès de braconnier ou après chaque crime sordide, c’est la vérité qui leur pète à la gueule : les chasseurs détestent autant que n’importe qui ces connards qui massacrent ou ces fous furieux qui utilisent un fusil pour tuer leur femme ou leur voisin. Ils le montrent, ils le disent, et ça, ça dérange. Ça met un gros coup de pied dans leur narration en carton-pâte.
Alors, on fait quoi ? On continue à leur laisser le micro, à ceux qui confondent tout exprès, ou on appuie là où ça fait mal ? Parce que la vérité, elle est là : les braconniers détruisent. Les criminels assassinent. Les chasseurs chassent. Et si ça les rend dingues qu’on le dise, tant mieux.
A voir en vidéo :
Il serait temps que la FNC prenne en charge tous ces dossiers de diffamations diverses et variées . Une mauvaise parole d un des ces groupuscules , une plainte . Un mensonge , une plainte . Des menaces de morts envers un ou plusieurs chasseurs , une plainte . Des dégradations de chaises de battues , de miradors, une plainte . A ce rythme là , les tribunaux seraient vite saturés et ces associations anti tout mis devant leurs responsabilités , la justice en aurait peut être mare de devoir rappeler à l ordre ces groupuscules de leurs dérives et leur infligerait , peut être des peines de sursis ou des amendes salés pour salir , diffamer , insulter des personnes pour qui la seule faute est d aimer la chasse , une activité légale .Bonne année à toutes et tous.
J’allais laisser un commentaire , mais après avoir lu le votre je n’ai plus rien à dire si ce n’est , bonne année à tous et que St Hubert soit avec vous .
Interdire la chasse pour lutter contre le braconnage oui, sauf que braconner n’est pas chasser c’est aussi réaliste que interdire le permis de conduire pour lutter contre les contrevenants ou interdire le travail pour lutter contre le travail au noir. Je ne suis pas élu député ou maire mais il me semble que si un de mes conseillers me disait cette idiotie je démissionnerais. (Mme Rousseau, Mme tonnelier)