Un cerf mort, une forêt, et une découpe. Je crois que cette scène est vieille comme l’humanité. Pourtant, il existe des nouveaux humains qui voudraient absolument rendre cette normalité choquante.
« Marquer son territoire ». Ça sent le mâle dominant qui pisse partout. Ça sent la menace et la violence. Et devant des enfants ! Dont l’extrême majorité mange de la viande ! N’est-ce pas là une bonne nouvelle que nos enfants puissent enfin faire la corrélation entre viande, animal et mort ? Plutôt que de les laisser s’empiffrer de nuggets sans conscience de rien ? Pour le Parti Animaliste, c’est indécent. Et cette indécence est même à son paroxysme, figurez-vous.
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Pourtant, sans jamais avoir d’états d’âmes, ils balancent tous les jours les images les plus dégueulasses qu’ils peuvent trouver sur les réseaux sociaux… mais ils s’émeuvent de la santé mentale des enfants qui assistent à la découpe d’un animal mort qui sera ensuite mangé. Une scène qui faisait partie du quotidien de nos aïeux. Des aïeux qui, il me semble, n’avaient rien de psychopathes assoiffés de sang.
Ne vous laissez pas avoir : ces gens ne sont pas là pour rendre compte d’une situation choquante, mais pour la dénormaliser afin de servir leur grand objectif : abolir la viande.
L’indécence c’est de couper nos enfants de cette vérité : pour manger un animal, il faut d’abord le tuer, le débarrasser des parties non comestibles, et ensuite le découper en morceaux.
Point de virilisme ni de maltraitance infantile, pas plus que d’indécence. La vie normale. Tellement plus normale que de bouffer un porc à 5€ le kilo qui n’a jamais vu la lumière du jour.
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Que ce doit être pénible pour les chasseurs à courre dans la forêt domaniale de Compiègne d’avoir systématiquement des casse-pieds cherchant à entraver la chasse et ensuite de lire, de voir les récupérations anti-chasse qui n’ont aucun sens sur les sites sociaux.
Il faut rappeler à ces hurluberlus que les sociétés de vénerie qui chassent, comme ici en forêt domaniale, ont payé le droit de chasse vendu par l’ONF, via des adjudications de chasse. Pas les zozos qui viennent pour entraver la chasse et raconter n’importe quoi en plus.
Pour prendre l’exemple précis cité, je me demande s’il ne faudrait pas systématiquement qu’un chasseur se dévoue pour expliquer au fur et à mesure et à haute voix chaque geste de celui qui dépèce, retire les viscères et découpe l’animal. Il pourrait aussi bien décrire les morceaux découpés et indiquer leurs différentes qualités et dans quels plats ils finissent. Un cours de sciences naturelles en quelque sorte.
Si ces images les chocs , restez chez vous et fichez la paix aux veneurs.
Bonjour je suis plus choqué par le nouveau 1re ministre qui dans nouveau programme scolaire va faire de l’éducation sexuelle une priorité
Vue la sienne de sexualité , il en aurait eu bien besoin . Désolé 😉