Marineland sacrifié sous la pression animaliste : orques déplacées en Espagne, emplois détruits, et un sanctuaire qu’on attend toujours…
La fermeture de Marineland d’Antibes et le sort des animaux restants, notamment les deux orques, illustrent encore une fois la gestion précipitée des dossiers sous la pression des lobbies animalistes. Trois mois après la fermeture définitive du parc, la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, reconnaît du bout des lèvres que l’idée d’un sanctuaire pour ces cétacés, vantée par les associations comme One Voice ou Sea Shepherd, est encore bien loin d’être concrétisée. Résultat ? Un transfert en urgence vers des parcs espagnols, faute de mieux.
Le scénario est tristement classique. D’abord, une décision politique à la hâte, sous couvert d’un impératif moral dicté par les groupes animalistes. Ensuite, une gestion chaotique des conséquences. Les bassins du parc se dégradent faute d’entretien, mettant en danger les animaux que ces associations prétendaient vouloir « sauver ». Finalement, on en revient à une solution pragmatique mais honteuse pour ceux qui avaient promis monts et merveilles : un simple déplacement vers d’autres parcs marins.
Derrière cette mascarade, ce sont des dizaines d’emplois sacrifiés et une institution française du spectacle animalier rayée de la carte. Mais les associations, elles, peuvent crier victoire, peu importe les dégâts collatéraux. Ce qui compte, c’est l’affichage médiatique, pas la réalité du terrain.
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Les promesses de sanctuaire ? Un mirage qui se heurte à la complexité de l’accueil et du soin des cétacés nés en captivité. On évoque un projet italien qui pourrait voir le jour « d’ici une année ». Rien de concret. En attendant, les orques partent pour Tenerife, les dauphins pour Madrid, et le feuilleton judiciaire se poursuit avec une expertise vétérinaire toujours attendue.
En somme, une démonstration éclatante de la politique de la démagogie : on cède aux pressions idéologiques, on saborde une institution, et une fois l’euphorie retombée, on bricole une solution d’urgence en espérant que l’opinion publique ait tourné la page. Mais l’histoire, elle, se répète.
A voir en vidéo :
Bonjour,des nuls,que des nuls, incroyable !aucunes concertations,aucunes études, lamentable!!!faites payer ces animalistes !nourriture, gardiennage, etc
Vive la France des ecolos !!!rien dans la tête et en plus les « grands » bonnets les suivent des bonnets d’ânes oui !!
Comme toujours ce sont les même qui en font les frais , le personnel , les touristes qui sans ce genre de parc animalier n’ont pas la possibilité de voir ces mammifères marins et surtout ces animaux séparer de leurs soigneurs qui ne supporteront peu-être pas le transfère vers un autre parc pour au final une vie aussi voir plus misérable encore .
Shame on these ignorant activists. Sea pens are COMPLETELY different from what these animals know; ‘natural’ does NOT equal better for their welfare. Marine parks can absolutely improve their tanks and give more room, but it’s nowhere near as bad as people like to claim.
Putting these precious animals in an unpredictable, expensive, unfiltered sea pen with exposure to germs they’ve never seen is ignorant at best and animal abuse at worst. Wikie and Keijo deserve keepers who know how to care for them and not wannabe experts who put their personal feelings over animal welfare.
I hope they can safely transfer and live out their lives at Loro Parque. A calf is due soon at the Spanish park, and Wikie is an experienced mother who can help Morgan raise her calf. Another female present would be a massive boost and help for the pod.
Thank you for promoting common sense.