Dans un tweet repris ce matin par Thomas Drach dans cet article, Sandrine Rousseau tague l’association Code Animal. Or il se trouve que ce machin a vendu son âme à la fast fashion pour quelques piécettes (Bon 50 000$ quand-même).
Voyez donc ce greenwashing caractérisé de la part d’une entreprise de la fast fashion, un des secteurs les plus polluants de la planète (vous pouvez retrouver l’original ici).
Bizarrement à l’époque, Code Animal reprenait fièrement ce partenariat sur son site. Mais après cette vidéo que j’ai publiée à l’époque (visionnez-là juste en dessous), toute trace de ce mariage contre nature a disparu. Une étourderie sans doute…
Je ne suis pas sûr que le géant Shein soit au courant du fait que Code Animal n’affiche plus la marque sur son site (la honte sans doute). Toujours est-il que le pognon, lui, a sans doute été encaissé (et dépensé).
Donc non contente de dire absolument n’importe quoi sur la chasse, simplement pour faire un petit coup de com (oui les mesures n’ont aucune chance de voir le jour, ne serait-ce que parce qu’elles sont énoncées n’importe comment et qu’elles n’ont aucun fondement), Sandrine Rousseau met en avant une association qui considère que l’argent est un poil plus important que la nécessaire probité qui devrait l’animer.
L’argent et Sandrine Rousseau !
La probité, l’intégrité ce ne doit pas être le fort de Sandrine Rousseau pas qu’elle soit achetée ou qu’elle s’enrichisse frauduleusement, mais simplement parce qu’en face de la rémunération de député qu’elle perçoit (7.600€ brut, 5.928€ net) il n’y a pas grand chose comme travail réel malgré une petite équipe d’assistants parlementaires.
Pendant qu’elle pérore, d’autres députés font le travail.
On voit que cela ne doit pas déranger Madame que des pollueurs chinois, genre SHEIN, arrosent l’association Code Animal qui, comme par hasard, est immatriculée à Strasbourg.
Si vous avez suivi Richard vous savez que Strasbourg c’est pour des raisons fiscales et la possibilité d’avoir des activités commerciales bien qu’association.