2025 : les vœux de Willy Schraen

Willy Schraen, président de la FNC, a présenté ses vœux pour 2025 et dressé un bilan incisif de l’année écoulée tout en esquissant les combats à venir.

En voilà un qui n’a pas peur de mouiller la chemise. Willy Schraen a une fois de plus pris la parole pour nous balancer des vérités, enrobées dans un franc-parler qui claque comme un coup de fusil au petit matin. À l’aube de 2025, il a déroulé son discours comme on déplie une carte d’état-major avant la bataille. Et croyez-moi, il n’a pas mâché ses mots face à la meute des anti-chasse qui aboie sans répit.

2024 : une année de « bruit et de fureur »

On aurait voulu une année calme ? Raté ! Schraen l’a rappelé, 2024 a été une cacophonie de désinformation, où les anti-chasse ont rivalisé d’imagination pour salir notre passion. Entre pseudo-agressions montées en épingle sur les réseaux sociaux et discours haineux servis à toutes les sauces médiatiques, les opposants à la chasse ont joué leur partition préférée : celle du mensonge et de la calomnie. Mais pas question pour Willy de laisser passer ça. Les manipulateurs d’opinion, qu’ils soient militants ou politicards en mal de buzz, ont trouvé face à eux un président qui n’hésite pas à charger tête baissée.

Le vivre-ensemble en ligne de mire

Et quand la haine dépasse les claviers pour s’en prendre directement aux chasseurs, Schraen tire la sonnette d’alarme. Le respect, cette fameuse ligne rouge, est de plus en plus foulé aux pieds. « On peut être contre la chasse, mais pas contre les chasseurs », a-t-il martelé, comme un avertissement avant l’explosion de notre fragile contrat social. Une vérité criante dans un pays où la contestation est un sport national, mais où la violence gratuite n’a jamais été une règle du jeu.

Sécurité : l’étendard des chasseurs modernes

Schraen ne s’arrête pas à la défense de la chasse. Il passe à l’attaque avec des faits, des vrais. Formation, règles strictes, révisions décennales : la chasse, en matière de sécurité, est un modèle. « Zéro accident », un objectif ambitieux, mais porté à bout de bras par des chasseurs responsables, conscients de partager l’espace public avec tous les amoureux de la nature. Une leçon à méditer pour les anti-chasse qui se gargarisent de leçons de morale.

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Dégâts de gibier : l’ardoise des chasseurs

Mais tout n’est pas rose au tableau. Willy Schraen le sait, et il le dit. La facture des dégâts de grand gibier, laissée sur le dos des chasseurs, devient insoutenable. Avec un brin d’ironie, il rappelle que le sanglier, lui, n’a pas reçu de mail pour se confiner dans les bois privés. La solution ? Réformer cette loi injuste qui, si elle perdure, risque de faire vaciller la chasse populaire.

Traditions rurales : l’ultime barricade

Et puis, il y a cette autre bataille, celle des traditions : les attaques fusent contre tout ce qui fait le sel de nos campagnes. « De quel droit on m’interdirait d’emmener mon gosse à la chasse ? », tonne Schraen, comme un père prêt à défendre bec et ongles le droit de transmettre ses valeurs. Et il a raison : laisser passer, c’est laisser mourir une part de notre identité.

Une chasse scientifique et légitime

Enfin, Schraen conclut avec une vision moderne et ambitieuse : une chasse appuyée sur la science, où les chasseurs deviennent les premiers collecteurs de données sur la faune. Une chasse qui regarde l’avenir, sans renier ses racines. Parce que oui, la chasse peut être tout ça à la fois : tradition et modernité, passion et responsabilité.

L’heure de lever nos verres

Alors, chers camarades, levons nos verres à ce discours qui sonne comme un appel aux armes – pacifiques, bien sûr. Willy Schraen nous rappelle que la chasse n’est pas un passe-temps, c’est une passion chevillée au corps, une culture à défendre, et un mode de vie à perpétuer. Aux anti-chasse, il dit : vous avez vos claviers, nous avons nos bottes boueuses et nos idées claires. À chacun son terrain. Et à nous, amis chasseurs, de rester droits dans nos bottes. La chasse est vivante, et elle le restera tant qu’il y aura des Willy Schraen pour porter son étendard.

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