L’ASPAS et « Un Jour Un Chasseur », deux organisations anti-chasse gesticulantes et qui n’ont jamais rien foutu de leurs 20 doigts à part dispenser de la propagande autour d’elles, ont décidé de saisir le tribunal pour dénoncer l’inaction de l’État.
Mais l’inaction de l’Etat euh…par rapport à quoi ?
Je cite cet article pondu par le très sérieux Marc Giraud (le patron de l’ASPAS qui a un jour déclaré que pour limiter les incendies il fallait plus de chevreuils parce qu’ils débroussaillaient vachement bien la nature – voir cette vidéo-) :
« Face à l’inaction de l’État qui faillit à mieux encadrer et sécuriser ce loisir mortel, l’association ASPAS et le collectif Un Jour un Chasseur ont engagé le 10 octobre 2023 une action en justice devant le Tribunal administratif de Paris. »
Autant vous dire que ça fait trembler la république. La chasse est de plus en plus sûre, des réformes sont en cours grâce au (très bon) travail du Sénat, les sangliers font exploser le compteur des dégâts et se baladent en ville au point de bientôt se voir attribués le qualificatif très envié de « liminaire », mais ces deux…machins vont accaparer le tribunal avec leurs mensonges et exagérations habituels.
Qui pour les prendre encore au sérieux ?
Un Jour Un Chasseur, sorte de « F de souche » cynégétique qui se repait de faits-divers et autres témoignages commodes et invérifiables, et l’ASPAS, complètement engluée dans ses clôtures et qui cherche du flouze partout dans une tentative un peu vaine de garder le fondement propre. Voilà de quoi assurément faire bouger des lignes.
De là à dire qu’ils sont plus en recherche de justifications de leurs propres existences que de Justice, il y a un pas que je franchis sans hésiter. Exister dans le monde merveilleux de la Protection Animale exige d’être visible. Bref.
Des actions vaines, dont ils savent tout à fait la nature, et qui sont des prétextes fallacieux pour surnager financièrement dans cet océan parfois subventionné, et parfois pas. Quoi qu’il en soit, il est question d’exister.
Agitons-nous donc…
on verra si le contrôle de la cour des comptes demandé se fait et avec quel résultat
L’ASPAS qui vit très majoritairement avec nos impôts, 66% des dons étant pris en déduction de nos impôts, ne manque pas de culot, mais manque, par contre, de cohérence.
Ils menacent d’une seconde plainte contre l’Etat le 10 décembre, si l’Etat n’ a pas pris, suite à leur plainte déposée le 10 octobre, les « mesures propres à assurer la sécurité et la tranquillité de la population dans le contexte de la pratique de la chasse » .
Ils ont oublié dans leur plainte contre l’Etat de demander aussi les mêmes « mesures propres à assurer la sécurité » mais dans le cas des routes où, malgré les prélèvements à la chasse de grands animaux sauvages (sangliers, chevreuils), les collisions avec ces animaux provoquent chaque année de 7 à 11 morts et de 150 à 190 blessés lors des 40.000 collisions annuelles de même origine.
L’ASPAS met en avant dans l’explication de sa demande au Tribunal le chiffre de 40 personnes tuées du fait de la chasse depuis 1990. C’est oublier les chasseurs qui sont sans doute rien du tout pour l’ASPAS. Et c’est aussi oublier les tués sur les routes du fait d’une collision avec un sanglier.
Tous ces « rabat-joie » croient qu’ils agissent alors qu’ils ne font que s’agiter.
C est toujours pareil c est une minorité qui contre tout
La chasse en fait parti
Il faut les combattre par tous kes moyen
Toujours pas calmées les deux hystériques, pourtant joseph mortimer grandville a trouvé le remède depuis bien longtemps. :))