Dans le Vaucluse, des gendarmes et un garde-champêtre ont sauvé des sangliers pris au piège d’un trou d’eau.
Des sangliers piégés dans un trou d’eau ont été sauvés d’une mort certaine.
Et pour les fâcheux qui se demandent pourquoi on s’émeut de ça sur Chasses Éternelles, on rappelle qu’il y a un temps pour tout. Hors action de chasse, on ne chasse…pas. Combien de chasseurs on ainsi décoincé un chevreuil d’un grillage ?
A lire aussi : Chasseurs et gendarmes au service de l’environnement
Focus sur la mission du garde-champêtre
Les gardes champêtres, figures essentielles de la sécurité rurale, jouent un rôle déterminant dans la police des campagnes françaises. Ces agents assermentés sont chargés de veiller à l’application des règlements et arrêtés municipaux sur leur territoire d’intervention, assurant ainsi la tranquillité et le respect des lois dans les zones rurales.
Surveillance et constatation des infractions
Leur mission principale consiste à rechercher et constater les contraventions aux règlements locaux. Munis de leur assermentation, ils dressent des procès-verbaux pour toute infraction observée, contribuant ainsi à la régulation et au maintien de l’ordre public. Leur champ d’action s’étend également à la constatation des infractions au code de la route. En effet, un décret en Conseil d’État précise les dispositions du code de la route qu’ils peuvent appliquer.
Infractions pénales et forestières
Outre les infractions routières, les gardes champêtres constatent également les contraventions mentionnées au livre VI du code pénal. Ces infractions, fixées par décret en Conseil d’État, doivent être de nature à ne pas exiger d’actes d’enquête approfondis, à l’exception des atteintes à l’intégrité des personnes.
En matière de protection de l’environnement, ils ont pour mission de rechercher et constater les infractions forestières définies aux articles L. 161-1 et L. 161-4 du code forestier. Leur vigilance contribue à la préservation des espaces naturels et à la lutte contre les pratiques illégales en milieu rural.
A voir en vidéo :
Et oui les chasseurs comme les ruraux tiennent aux petites bêtes même si parfois elles sont grosses. En dehors de la période de chasse et même pendant nous alimentons des points d’agrainages pour les perdrix et autres oiseaux, et pourtant nous ne les tirons plus depuis 12 ans. Les grives, merles, pies, bergeronnettes, etc bénéficient de ces points repas en toute quiétude, simplement pour le bonheur de les croiser pendant nos balades et d’entendre des chants d’oiseaux dans nos campagnes. La vie des villages pour les hommes comme pour les animaux, c’est la VIE celle où on pose le pied à terre, dans la terre où l’arbre plie sous le vent où la pluie glisse sur les feuilles, c’est ça ma vie.
Comme quoi les chasseurs, les pêcheurs et les forces de l’ordre font du bon boulot ensembles. Qui peut en dire autant.
C’était quand même une sacrée carpe.
Bravo et merci pour ces suidés sauvés d’une noyade certaine.
Vive la ruralité , vive nos campagnes et tous les gens qui la font vivre. Merci à ce garde et à ces gendarmes .