Entre accusations d’agressions et bataille de perceptions, retour sur l’incident en forêt d’Orléans opposant Pierre Rigaux et des chasseurs à courre.
Une version des faits à deux visages
Le récit de l’événement est marqué par une dichotomie flagrante. D’un côté, Pierre Rigaux et ses militants de l’association Nos Viventia dénoncent des violences physiques, des menaces de mort et de viol, et des actes de vandalisme de la part des veneurs. De l’autre, les chasseurs décrivent un affrontement beaucoup moins dramatique, qualifié de « bataille de boules de neige ». Ce contraste met en lumière un problème récurrent : la manière dont les récits sont construits et amplifiés par les différents protagonistes pour servir leurs causes respectives.
Un contexte tendu et propice à l’escalade
Le fait que cet incident se soit déroulé dans le cadre d’une chasse à courre, activité régulièrement ciblée par les militants, n’est pas anodin. Ces derniers filmaient les chiens d’un équipage, un geste perçu comme une provocation par les chasseurs. La chasse à courre, bien que légale, reste un sujet polémique en France, et ce type d’interactions tendues sur le terrain est devenu courant.
Questionnement sur les responsabilités
Le rôle des forces de l’ordre dans cet incident est également mis en question. Les militants déplorent un contrôle partial, estimant que les gendarmes n’ont pas suffisamment encadré les veneurs. Cette perception, qu’elle soit fondée ou non, alimente un sentiment d’impunité ressenti par les militants.
A lire aussi : La méthode Rigaux
En revanche, les chasseurs, habitués à être filmés et parfois harcelés, pointent du doigt des méthodes qu’ils jugent biaisées, voire manipulatrices, de la part des opposants à la chasse. Ils dénoncent une tentative de capturer des « images-chocs » destinées à alimenter une propagande anti-chasse.
Un récit à analyser avec prudence
Ces événements mettent en exergue la difficulté de démêler le vrai du faux dans des situations aussi polarisées. Les plaintes déposées par les militants nécessitent une enquête rigoureuse pour établir les responsabilités. Il est crucial de garder une certaine réserve face aux récits émotionnellement chargés, que ce soit de la part des militants ou des chasseurs.
Réflexions pour une coexistence pacifique
Cet incident soulève des questions plus larges : comment permettre une coexistence pacifique entre deux groupes dont les visions du monde sont irréconciliables ? Peut-on imaginer des cadres plus sécurisés et mieux encadrés pour éviter ce type d’affrontements ? L’éducation et la sensibilisation mutuelles semblent être des pistes, bien que difficiles à mettre en œuvre dans un climat aussi polarisé.
A voir en vidéo :
Il aurait suffit que les députés votent l’entrave à la chasse et il n’y aurait plus de problème il faudra sans souvenir aux prochaines élections quand à Mr Rigaux il ferait tout pour remplir sa cagnotte il ne faut pas oublier que cracher sur la chasse s’est son métier
Par cet article, j’apprends l’existence d’une autre entité totalement liée à Pierre Rigaux, le site NOS VIVENTIA,
Ce site NOS VIVENTIA est aussi l’occasion pour Pierre Rigaux de faire appel aux dons et ainsi d’accroître ses capacités financières.
Le site ne respecte pas les obligations d’informations, telles que la forme juridique, l’adresse du domicile ou du siège social, le numéro de téléphone ou l’adresse mail.
Pour faire appel aux dons, il faut normalement faire une déclaration auprès de la Préfecture et obtenir une autorisation.
Rigaux préfère prôner la haine de la chasse et de l’élevage en faisant des vidéos sciemment détournées et mensongères en faveur de sa cagnotte Teepee ( comme il aime bien le rappeler à chaque fois). C’est en fait un psychopathe dans le corps d’un influenceur Tic-Toc avec un joint…
Bonjour. Voilà l’adresse : MSIH 25 RUE MAURICE SEGONDS 60000 BEAUVAIS. La MSIH est Maison des Services et des Initiatives Harmonie.
Bonjour. Voilà l’adresse : MSIH 25 RUE MAURICE SEGONDS 60000 BEAUVAIS. La MSIH est Maison des Services et des Initiatives Harmonie.
L’adresse que vous donnez est la Maison des associations de Beauvais.
Cela ne donne pas la forme juridique de NOS VIVENTIA (certainement une association) ni une adresse mail ou un numéro de téléphone, informations obligatoires pour tout site Internet.
Pierre Rigaux annonce souvent le dépôt de plaintes mais pour respecter le droit ce n’est pas sa première qualité.
Pierre Rigaux dit porter plainte contre ‘‘ces racailles en redingote’’ pour menaces de mort et de viol. Comme on ne voit pas d’images de ces faits de menaces, alors qu’ils filment systématiquement, il faut conclure qu’on serait sur une dénonciation calomnieuse.
Avec NOS VIVENTIA et son business habituel anti-chasse, Pierre Rigaux se fait une belle vie !!
Ça rapporte !!!
A un moment ça s’appelle du harcèlement. Ils foutent quoi à la justice?
Nan par ce que si tu vas mettre le bordel dans un magasin, un court de tennis, une propriété privée, bah il va falloir t’expliquer devant un juge à un moment.
Mais là rien, à croire qu’ils attendent le pétage de câble d’un chasseur avec une arme en main…
ça devient dangereux!
Avec Pierre Rigaux et sa bande d’huluberlus anti-chasse, ainsi que le groupe AVA de Stan Broniszewski, certains chasseurs à courre qu’on vient systématiquement provoquer dans leur pratique de la chasse pourraient péter un câble. C’est ce qu’il faut à tout prix éviter. C’est ce qu’ils recherchent.
Ce que font ces deux groupes anti-chasse en prenant des vidéos et des sons doit être aussi mis en place par les chasseurs pour avoir des preuves des entraves à la chasse dans des forêts privées ou domaniales qui ont été louées par les chasseurs auprès de l’ONF par adjudications.
A un moment donné, avec des preuves vidéo d’entraves systématiques à la chasse par ces groupuscules, il faudra porter plainte et demander la présence de gendarmes pour faire respecter le droit de chasser dans des forêts qui sont privatisées pour cela.
Je crois que les gendarmes sont souvent présents mais n’interviennent pas. Pourquoi ?
De plus la justice en France bat de l’aile dans beaucoup de domaines. La France devient de plus en plus un pays où la loi ne veut plus rien dire. Une frange de nos politiques montrent l’exemple.
Dans cette histoire, en forêt d’Orléans, il semble que les gendarmes ont contrôlé Pierre Rigaux, ses acolytes, ainsi que des veneurs.
J’aimerais bien voir les images où Pierre Rigaux et ses acolytes auraient été menacés de mort et de viol. Ça semble tellement gros. Si ces images ne sont pas montrées c’est qu’il n’y a pas eu ces dérapages des veneurs.
Après la chasse c’est la pêche qui sera menacée, c’est déjà le cas avec les restrictions de pêche au vif et les actions violentes menées contre les revendeurs de vifs. Puis il faudra protéger les asticots, les verres de farine etc… Ensuite les ramasseurs d’escargots seront dans le collimateur, eux qui jettent les gastéropodes dans l’eau bouillante. Et pourquoi pas les ostréiculteurs, les huitres sont avalées crues et vivantes. Peut-être faudra t il fermer les élevages de canards de charolaises et autres animaux. Quand nous seront arrivés à déguster de l’herbe et des plantes nous regarderons avec nostalgie notre enfance et celle de nos parents et grands parents qui n’auront pas eu comme simple vision des zones commerciales ou boulevards envahis de panneaux 4 sur 3 nous proposant les derniers nés de l’IA qui nous projetteront des images bucoliques de la campagne. Lisez « Le pape des escargots, Padre Padronne, la gloire de mon père ».