La perdrix baguée du végan

Le témoignage bouleversant complètement pété de l’année nous est offert par un champêtre anti-chasse.

Texte : Richard sur Terre

Une histoire de bague retrouvée sur une perdrix, AVEC numéro de téléphone de l’éleveur (siouplé madame), sème le trouble dans la sphère (toujours creuse) de l’antichassisme français.

Imaginez la scène : Jean-Kévin se promène dans un champs. Oui il fait ça le weekend Jean-Kévin. Il se promène dans les champs, où nous avons parfois l’occasion de croiser son hirsute tignasse bleue.

Mais dans ce champ-là, alors qu’il furetait à la recherche de quelque-chose (si vous voulez mon avis c’étaient des champignons qui font rigoler), il a repéré la dépouille d’un « perdreau rouge » qu’il s’est empressé de ramasser pour examen plus approfondi.

Et là, quelle ne fut pas sa surprise de constater que l’occis volatile portait à la patte une bague d’identification ! Mais pas n’importe quelle bague mes amis, non ! Une bague qui comportait un numéro de téléphone !

N’écoutant que son courage et surnageant dans les effets plus pressants du magic-mushroom, il a composé le numéro sur son smartphone (ou directement sur la perdrix, l’histoire ne le dit pas), et il est tombé derechef sur l’éleveur de l’oiseau mort.

C’est comme ça que notre ami végan a pu ensuite témoigner de sa formidable aventure auprès de ses amis végans, mettant ainsi en cause ces vilains chasseurs, et nous donnant une occasion (de plus) de nous payer leur tronche.

Merci donc à lui pour ce moment de truculence qui fait du bien.

Les Nouveaux Prédateurs

Comment ils menacent les hommes sans protéger les animaux ? Un essai engagé qui met en évidence les dérives de l’écologie radicale et des militants antispécistes. Protéger les animaux, leur assurer des conditions de vie décentes, consommer autrement en respectant notre environnement… Qui serait en désaccord avec ces principes fondamentaux ? Mais, on le sait, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Aujourd’hui, les activistes antispécistes et les militants écologistes les plus radicaux détournent ces idées partagées par le plus grand nombre. Animés par une idéologie radicale, convaincus que l’intimidation peut remplacer l’échange démocratique, ils imposent, peu à peu, leur vision du “meilleur des mondes”.