USA : PETA se jette sur un drame pour salir la chasse

Antispécisme
date 22 janvier 2025
author Dr Sirius Procyon

PETA franchit une nouvelle étape dans l’indécence en utilisant une tragédie humaine pour promouvoir sa propagande anti-chasse.

Le 4 septembre 2024, Colt Gray, un adolescent de 14 ans, a perpétré une fusillade tragique dans un lycée de Géorgie, tuant deux élèves et deux enseignants. Une horreur qui devrait pousser à une analyse sérieuse des causes profondes de la violence juvénile : troubles mentaux, isolement social, accès incontrôlé aux armes. Mais PETA, fidèle à sa rhétorique malhonnête, n’a rien trouvé de mieux que d’accuser… la chasse.

La chasse désignée coupable : une insulte à l’intelligence

Dans un article débile, PETA avance que la première chasse de Colt, où il a abattu un cerf sous la supervision de son père, aurait contribué à désensibiliser le jeune homme à la violence. Cette théorie fumeuse relève de la pure propagande, construite sur des corrélations trompeuses et des généralisations absurdes. Assimiler une activité encadrée, respectueuse des règles et porteuse de valeurs éducatives, à un déclencheur de violence humaine est non seulement faux, mais outrageusement diffamatoire.

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La chasse, pratiquée par des millions de familles dans le monde, n’a rien à voir avec de la cruauté. C’est une tradition profondément ancrée dans la gestion des écosystèmes et l’apprentissage du respect de la nature. PETA, en déformant les faits, insulte non seulement les chasseurs, mais aussi les parents qui transmettent ces valeurs à leurs enfants.

Une manipulation des chiffres pour servir une idéologie

Pour justifier ses accusations, PETA cite une statistique selon laquelle 43 % des tireurs de masse auraient été cruels envers les animaux dans le passé. Mais cette donnée, issue de Sandy Hook Promise, n’établit aucun lien avec la chasse. Confondre la cruauté gratuite et déviante avec une activité légale et éthique est une supercherie intellectuelle.

Exploiter une tragédie : l’indécence au service d’un agenda

L’aspect le plus odieux de cette campagne est l’instrumentalisation d’un drame humain pour attaquer un groupe ciblé. PETA détourne l’attention des vraies causes de cette fusillade – troubles psychiatriques, marginalisation ou accès incontrôlé aux armes – pour servir son agenda anti-chasse. Cette exploitation cynique d’un événement tragique montre jusqu’où cette organisation est prête à aller pour diaboliser ses opposants.

Une éducation biaisée pour un lavage de cerveau idéologique

En réponse à cette fusillade, PETA annonce vouloir introduire son programme « TeachKind » dans les écoles de Géorgie. Derrière cette façade d’éducation à la compassion se cache un endoctrinement, visant à inculquer une vision extrémiste où toute interaction humaine avec les animaux – de la chasse à l’élevage – est condamnée. Ces initiatives ne sont pas là pour éduquer, mais pour transformer les enfants en soldats de leur croisade anti-chasse.

Défendre la chasse, dénoncer la désinformation

Cette campagne est une attaque frontale contre la chasse et ses pratiquants, basée sur des mensonges et des amalgames scandaleux. La chasse n’est pas un acte de cruauté ; elle est un pilier essentiel de la gestion des écosystèmes, une activité encadrée par des lois strictes et une école de vie qui enseigne le respect de la nature.

PETA, en refusant de reconnaître cette réalité, choisit de s’enfermer dans une idéologie hostile, fondée sur la haine et la manipulation. Nous ne devons pas laisser leur propagande salir des millions de chasseurs respectueux et responsables.

La chasse, une tradition noble à protéger

La tragédie de Colt Gray exige des réponses sérieuses, pas des polémiques stériles. En exploitant cet événement pour alimenter sa rhétorique haineuse, PETA montre son vrai visage : celui d’une organisation prête à tout pour imposer sa vision extrême. Il est de notre devoir, en tant que défenseurs de la chasse moderne, de dénoncer ces mensonges et de rappeler l’importance de la transmission de valeurs solides.

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2 Commentaires :
  1. Jean 2
    23/01/25

    Bonjour,oui,lamentable!c’est pour ceux qui n’avaient pas encore compris les buts de ces gens.(landru doit sourire là où il est,et d’autres aussi)

  2. serge
    24/01/25

    Quand j’étais gamin j’aidais mon papi à tuer des poules et des lapins. Heureusement je me suis soigné et je n’ai tué personne au collège ou au lycée, ouf.
    Mais j’y pense ma petite fille m’aide pour cuisiner les escargots pourvu qu’elle ne trucide pas ses camarades à la maternelle à coup de LEGO.

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